Une recette sans chichi, pas si compliquée que ça et pas si mal que ça si vous la faites, bien sûr, avec lapins et courgettes fraîchement cueillis du jardin.
Comme nous vous le disions, le céleri peut mieux faire que bouillir des heures dans une marmite. Cette recette, pourtant en trois parties, n’explore qu’une maigre partie des possibilités de ce charmeur !
Encore une autre recette fort célèbre en son temps. Les escargots, créatures délicates, peuvent être omis sans faire insulte ni à l’esprit, ni à la lettre de cette préparation.
Ah, les bonnes vielles recettes bien classiques sans chichi ni tralala, c’est ça le bonheur ! Alors que le gâte-sauce pervertit le noble légume en sorbets et aumônières, vous, les gourmets éduqués, en jouirez dans le plus simple appareil…
Pour cette recette prenez des pommes de terre primeur qui ne soient pas trop petites. Evitez, par exemple, la sinistre « grenaille » que vous n’utiliserez qu’à l’automne, en période de chasse, pour fabriquer vos cartouches « maison ».
Encore une recette bien de chez nous et qu’on réussit très bien tout seul. Alors pourquoi ce texte ? Si la question vous est posée, répondez que vous ne savez pas non plus.
Ah le printemps, ses douces lumières, ses légumes nouveaux, son avant-goût de l’été en chemin… Verte et souriante promesse pour l’homme épris de nature…. En attendant ses moustiques et pluies diluviennes, célébrez-le ici avec un raz-de-marée de légumes et productions du moment.
Il y a un peu de la carpe et du lapin dans ce mariage de la belle et de la bête… Mais c’est le but : délicatesse du mesclun battu en brèche par les saveurs musquées de la poitrine fumée. Simple mais efficace.
Cette danse parait, sur le papier en tous cas, très alléchante. Mais elle n’est rien comparée au fumet céleste et surnaturel qu’oignons et jarret de veau vont, dans une symbiose extatique, produire ensemble.
Les galettes… Faciles et délicieuses ! Elles plaisent même aux enfants qui, miracle, acceptent de délaisser leurs nuggets favoris pour des légumes… Enfin, certains d’entre eux, du moins !
Aucune recette d’asperges ne parvient à la cheville de celle-ci… Simple, raffinée, sans chichi ni tralala.. Tout tient à la fraîcheur du produit et à sa cuisson
Ah ! Mais voici une recette tellement classique qu’à énoncer son nom, on se croirait pris dans du marbre. Classique, délicieuse mais très, très capricieuse…
Attention, vous n’avez que jusqu’au 15 mai, amis, pour faire cette recette. Au fait, pourquoi « frimeur » ? Parce que coquilles Saint-Jacques plus asperges dans la même assiette, c’est vraiment fait pour épater la galerie !