Un faux risotto… Fallait vraiment l’inventer, ça encore ! Ici, le quinoa ne peut former l’inimitable texture crémeuse du vrai risotto. Mais le but n’est pas là : on veut juste vous monter une autre manière de faire.
Toujours plus étranges, toujours plus imprévisibles, les recettes de la Ruche…. Ici, il faudra ajuster la quantité de bouillon afin d’obtenir la consistance désirée : mi soupe/mi purée.
Avec des efforts, il est possible de donner du goût à une salade de quinoa. Oui, oui, c’est possible, vous avez bien lu. Et même vers le canal Saint-Martin parisien, aussi.
Quelle drôle d’idée que de présenter des crosnes en salade… Surtout que cette salade n’en est pas vraiment une. Bref, cette recette, c’est un peu tout et son contraire. Bon courage.
Le luxe est une notion extrêmement relative, sujette à caution et, disons-le net, sulfureuse… Le luxe de l’ouvrier est-il celui du prédateur financier installé au Panama ? C’est à voir. En tous cas, voici une recette pour méditer sur le sujet.
Comme à la guerre, comme à la guerre… Pas tout à fait quand même, sinon plus personne ne va lire ces fiches et la Ruche qui dit oui ! va finir par gronder son auteur.
Il n’y a pas à dire : la paix, c’est tellement mieux et, en plus, on peut manger des bonnes choses, ce qui ne gâche rien… Gloire, gloire aux pacifistes et à leurs bénéfices collatéraux !
C’est certain : les panais au four sont délicieux. Mais avec un gigot en plus à côté, ils deviennent insupportablement attirants. Un gigot du riche (d’agneau) ou du pauvre (de dinde) : au choix.
Il existe tellement de recettes de panais que leur dénombrement découragerait le plus patient des gastronomes. En voici une parmi d’autres que, naturellement, vous customiserez en ajoutant ainsi encore une nouvelle fournée au répertoire.
Oui, en éventail certes, mais n’espérez pas non plus vous rafraîchir à la manière des impératrices chinoises. Éventail est ici un abus de langage, une métaphore peut-être, rien de plus.
Ah, les rave party de nos jeunes années, années oubliées pendant lesquelles nous brûlions la chandelle par les deux bouts… Maintenant empâtés, rappelons leur souvenir avec cette petite recette sans prétention.
Oui, ça change… Attention au temps de cuisson, variable selon la maturité des choux-raves. Le mieux, goûter au fur et à mesure de la cuisson et l’interrompre quand le légume est encore légèrement ferme…
On peut avoir la chance de déguster cette recette ou ses variantes en Italie… Evidemment, si vous faites les pâtes vous-même, c’est quand même autre chose que de prendre des coquillettes.
Pour d’obscures raisons, les choux, le miel et les saveurs fumées font bon ménage. Laissons les exégètes débattre du pourquoi et contentons-nous d’en profiter.