Au bout de cette filière très locale, c’est Marc Pimeau, le salarié de la communauté de communes qui s’assure que tout fonctionne bien. Je viens tous les matins vérifier la température et enlever le mâchefer, c’est ce qui reste du bois consumé, de la chaudière. Avec son allure de vaisseau spatial, la chaudière en question lui donne l’aura d’un capitaine de l’espace. Pas de doute, cet hiver les personnes âgées de la maison de retraite voisine ne risquent pas d’avoir froid, Jean-Pierre, Dominique et Marc entretiennent la flamme.
Article très intéressant et enthousiasmant, mais si disposer d’une énergie pour le chauffage est important, ne vaudrait-il malgré tout pas mieux laisser les arbres pousser tranquillement dans leur haie et prodiguer davantage de cette ombre bénéfique et de plus en plus recherchée autour d’eux ? C’est l’exemple de l’agroforesterie qui m’inspire cette interrogation.
Dommage que les parents des jeunes agriculteurs d’aujourd’hui n’aient pas eu les mêmes préoccupations…Ce bocage a été détruit par le remembrement il y a quelques années. Il est grand temps de le réparer.
Article très intéressant. Au 18e siècle, il y avait beaucoup de haies vives en Bresse (Morvans) Saône et Loire.
Encore un bel article instructif !