Les brebis, toujours à l’air libre, sont en bonne santé. Plantain, luzerne, trèfle, baies, ronces, jeunes pousses… Elles vont chercher d’instinct ce qui est bon pour elles. Depuis plusieurs années, la bergère remarque qu’elle n’a plus besoin de vermifuger le troupeau. Quand les brebis ont bien mangép et qu’elles ne broutent plus que par plaisir, Thérèse se pose et ressent un sentiment d’éternité. Elle savoure le plaisir d’être en communion avec son troupeau et la nature. Elle mesure le privilège qu’elle a de pouvoir découvrir chaque recoin de la Double. Thérèse est sans terre, mais elle est chez elle partout. Petit à petit, elle gagne son surnom et le respect des paysans. Je suis devenue un personnage ici, un peu malgré moi.
Merveilleux
Bravo pour vos engagements et realisations !
Avec admiration
Sincerement
AB
BRAVO….BRAVO THERESE LA COURAGEUSE ! QUI SAIT ALLER DE L »AVANT MALGRE LES DIFFICULTES. UN EXEMPLE POUR TOUTES LES FEMMES….
AMITIES
FRANCOISE
De tels projets me font rêver et en lisant ces lignes, je me dis « peut-être un jour… ». Mais la réalité de l’avant (un contrat, un salaire, un certain confort… malgré l’absence de bonheur et de réalisation) et la réalité de l’après (plus de bonheur et de sérénité, mais pertes de revenus, perte de confort, un travail parfois épuisant, mais valorisant et dont on est fier), sont difficiles à mettre en balance. Il faut bien étudier son projet avant de se lancer, beaucoup « se cassent les dents ».
Mais qu’est ce que c’est beau !