Qui a dit que le carrelet, reconnaissable à son dos kaki aux pois orange, était la sole du pauvre ? Que nenni ! Pané puis frit dans un beurre mousseux, rehaussé de persil frit, le voici anobli !
Carrelet pour 2 |
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1 carrelet d’environ 500 g 2 c. à s. de farine Poivre, sel 1 c. à s. de beurre Le jus de ½ citron |
L’accompagnement |
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150 g de pâtes de sarrasin (ici des risoni, petites pâtes en forme de riz, à l’encre de seiche) Un peu d’huile d’olive |
La petite friture |
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20 cl d’huile de cuisson (colza, tournesol, pépin de raisin) Quelques branches de persil 2 gousses d’ail |
Et plus si affinités ? |
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Du piment Du ghee (beurre clarifié) à la place du beurre de cuisson |
Le poisson
Rincez le carrelet et épongez-le légèrement. Trempez-le aussitôt dans la farine mélangée au sel et au poivre en le tenant par la queue. Mettez une poêle sur feu vif. Faites fondre le beurre et posez le carrelet sur le côté blanc. Cuisez environ trois minutes de chaque côté en arrosant du beurre. Déglacez la poêle en ajoutant le jus de citron et servez.
Les petites pâtes
Faites cuire les petites pâtes dans l’eau salée et servez-les mélangées à une cuillerée d’huile d’olive.
La petite friture
Plongez les branches de persil et l’ail coupé en grosses tranches (avec la peau) dans l’huile chaude. Chaude comment ? Le morceau plongé dans l’huile doit remonter en crépitant. Faites juste dorer. Et hop, égouttez et servez !
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Merci à Carlotta pour les jolies céramiques
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