Dommage que le hors sol contient jusqu’à 60% moins de nutriments que les legumes cultivés en pleine terre, comme révélé par Cash Investigation tout recemment.
Vous ne cherchez pas un nom pour vos salades ? J’ai une proposition : la salade « Vincent Lambert ». Sympa, non ?
Ah quand les ingénieurs se mêlent d’agriculture, c’est toujours la catastrophe… Voir ce qu’ils ont fait de la culture paysanne. Remembrement, culture intensive, etc. Maintenant l’hydroponie dans les villes ultra polluées.
Le bon sens dans tout ça ? On s’en fout.
Ces gens sont une calamité. Laissez donc le travail de la terre à ceux qui l’aiment et la respecte.
Quand les ignorants se mêlent d’agriculture c’est toujours la catastrophe…? L’agriculture urbaine justement permet de proposer une alternative à l’agriculture intensive, tout en produisant au plus proche du consommateur. Actuellement l’agriculture « paysanne » comme vous dites ne permettrait pas de nourrir une population comme celle de Paris, alors oui les ingénieurs cherche de nouvelles solutions. De plus blâmer cette initiative alors que je suppose que vous n’avez ni goûté ni même fait le déplacement sur leurs site pour savoir quels sont leurs éthique et leur méthode de production, n’est pas constructif. Concernant la pollution, sachez que la pollution sur les toits est de loin inférieur à celle au sol… les avantages par contre de ce type d’agriculture sont nombreux…diminution de la consommation d’eau, réinsertion de la nature en ville et de la biodiversité, produits frais, diminution du transport…renseignez vous sur les gains pour l’humain et pour l’environnement de ce type de pratiques dans les megalopoles qui l’ont mis en place et vous verrez que cette l’agriculture urbaine est essentielle et inévitable pour subvenir aux besoins des générations futures !
cordialement,
Signé, un simple étudiant en école d’environnement
Bonjour à tous,
Suite à vos nombreuses interrogations, voici quelques éléments de réponses ;
Pour la culture hors sol, en France, c’est 95% des tomates qui sont cultivées grâce à cette technique. Nous, chez Agripolis, nous favorisons les variétés anciennes réputées pour leur goût et leur valeur nutritionnelle . C’est les mêmes tomates que vous pouvez cultiver dans votre jardin.
Pour ce qui est des nutriments, nous utilisons le principe de la Bioponie complémentée.
C’est intéressant, ça a de nombreux avantages pour les citadins mais n’oublions pas que la culture hors sol fait perdre en nutriments par rapport à la culture pleine terre ( de – 50 à 80% selon etudes scientifiques, cf magazine ‘envoyé spécial’ de Elise Lucet)
Cà à beaucoup d’avantages mais il faut tout de même ne pas perdre de vue que la culture hors sol conduit à des légumes qui contiennent de 50 à 80% de nutriments en moins que la culture pleine terre (dernières études cf envoyé spécial de Lise Lucet). Donc c ‘est bien en ville si c’est consommé le jour même…
Dommage que le hors sol contient jusqu’à 60% moins de nutriments que les legumes cultivés en pleine terre, comme révélé par Cash Investigation tout recemment.
Vous ne cherchez pas un nom pour vos salades ? J’ai une proposition : la salade « Vincent Lambert ». Sympa, non ?
Ah quand les ingénieurs se mêlent d’agriculture, c’est toujours la catastrophe… Voir ce qu’ils ont fait de la culture paysanne. Remembrement, culture intensive, etc. Maintenant l’hydroponie dans les villes ultra polluées.
Le bon sens dans tout ça ? On s’en fout.
Ces gens sont une calamité. Laissez donc le travail de la terre à ceux qui l’aiment et la respecte.
Quand les ignorants se mêlent d’agriculture c’est toujours la catastrophe…? L’agriculture urbaine justement permet de proposer une alternative à l’agriculture intensive, tout en produisant au plus proche du consommateur. Actuellement l’agriculture « paysanne » comme vous dites ne permettrait pas de nourrir une population comme celle de Paris, alors oui les ingénieurs cherche de nouvelles solutions. De plus blâmer cette initiative alors que je suppose que vous n’avez ni goûté ni même fait le déplacement sur leurs site pour savoir quels sont leurs éthique et leur méthode de production, n’est pas constructif. Concernant la pollution, sachez que la pollution sur les toits est de loin inférieur à celle au sol… les avantages par contre de ce type d’agriculture sont nombreux…diminution de la consommation d’eau, réinsertion de la nature en ville et de la biodiversité, produits frais, diminution du transport…renseignez vous sur les gains pour l’humain et pour l’environnement de ce type de pratiques dans les megalopoles qui l’ont mis en place et vous verrez que cette l’agriculture urbaine est essentielle et inévitable pour subvenir aux besoins des générations futures !
cordialement,
Signé, un simple étudiant en école d’environnement
Bonjour à tous,
Suite à vos nombreuses interrogations, voici quelques éléments de réponses ;
Pour la culture hors sol, en France, c’est 95% des tomates qui sont cultivées grâce à cette technique. Nous, chez Agripolis, nous favorisons les variétés anciennes réputées pour leur goût et leur valeur nutritionnelle . C’est les mêmes tomates que vous pouvez cultiver dans votre jardin.
Pour ce qui est des nutriments, nous utilisons le principe de la Bioponie complémentée.
Enfin, les pots plastiques sont bien réutilisés.
Si vous voulez en savoir plus, n’hésitez pas à venir visiter nos sites (http://agripolis.eu/prestations/).
Est-ce -que vous réutilisez les pots de plastique ?sinon je ne vois pas ce qu’il y a d’écologique ds la démarche.Une salade un pot en plastique.
C’est intéressant, ça a de nombreux avantages pour les citadins mais n’oublions pas que la culture hors sol fait perdre en nutriments par rapport à la culture pleine terre ( de – 50 à 80% selon etudes scientifiques, cf magazine ‘envoyé spécial’ de Elise Lucet)
Qu’y a-t-il donc dans les « nutriments » qui permettent à ces salades de pousser hors sol? Merci de nous informer en toute transparence.
Super! Mais quels sont ces fameux nutriments dont les plants sont arrosés? Chimiques?
Cà à beaucoup d’avantages mais il faut tout de même ne pas perdre de vue que la culture hors sol conduit à des légumes qui contiennent de 50 à 80% de nutriments en moins que la culture pleine terre (dernières études cf envoyé spécial de Lise Lucet). Donc c ‘est bien en ville si c’est consommé le jour même…