Deux jeunes hommes s’activent sur le pont arrière. Yoann, 23 ans, est le fils d’Olivier. Emmitouflé dans sa combinaison jaune, il aide son père depuis plusieurs années tout en apprenant le métier. Il espère bientôt se mettre à son compte.
Tout comme Jordan, 22 ans, dont déjà trois passés comme matelot embarqué, qui livre son analyse : C’est difficile de se lancer. Il faut un bon apport financier pour acheter un bateau. Et en plus, il faut être sûr de récupérer la licence, parce que le nombre est limité.
Seulement 225 bateaux ont le permis Saint-Jacques dans la baie. Le CDPMEM n’en délivre pas de nouveaux. Pour l’obtenir à leur tour, les jeunes doivent miser sur des départs à la retraite.
Merci pour ce reportage sur une activité que l’on a pas la chance -en tant qu’observateur- d’approcher tous les jours.
Meilleurs voeux à ces travailleurs méconnus qui ne compte pas leurs efforts pour une rémunération pas à la hauteur.
Quant à l’avenir lié aux éoliennes offshore dont parle faune,c’est inquiétant, encore des vies suspendues aux décisions de la bureaucratie.
Article très intéressant
Mais il manque un paragraphe de taille
La menace du lendemain
Connaissez vous :
62 Éoliennes Offshores en baie de Saint Brieuc d’ici 2/3 ans implantées sur cette zone de pêche très protégée
N’avez vous pas des « choses » très très intéressantes à nous dire sur l’avenir très menacé De la biodiversité de notre baie de Saint Brieuc et sur l’impact de la pêche en baie de Saint Brieuc ?
Ben y sont courageux ces p’tits gars, c’est pas eux qui s’en foutent plein les fouilles ! Quand on voit le prix à l’étal, on se demande ou passe la différence ! Faudrait revoir tout ça et rémunérer ses courageux pêcheurs selon leur peine !
Superbe ce reportage sur les coquilles Sont-Jacques, comme si on y était !
Merci de nous faire partager de façon aussi vivante le quotidien de ceux qui nous nourrissent. Et l’aventure des poissons et de ceux qui les pêchent m’enchante … faute de pouvoir les suivre en mer.
Jane