55 brebis manechs tête rousse, 25 agneaux et 2 béliers, Brad Pitt et Will Smith (les beaux gosses de l’élevage !) : le troupeau de Charlène Créac’h pâture sur 14 hectares, répartis entre 500 propriétaires. Tous d’ailleurs ne connaissent pas leur propre cadastre. En effet, l’île est fragmentée en centaines de petites parcelles, héritées en indivision : en 1972, on en a recensé 85 000 ! Certaines ne sont pas plus grandes que la taille de cette table du conseil municipal, désigne l’élue en charge de l’environnement Dominique Moigne. Quand je vois une parcelle en friche, je peux les y installer, ça se fait à l’amiable, explique Charlène, 26 ans.
Super que Ouessant renoue avec ses traditions et préserve son île par une approche bio. J’espère que cette initiative sera couronnée de succès et que la solidarité entre iliens aura toujours le dernier mot.
Très beau projet…
J’ai séjourné à Ouessant en 2017 et je savais que l’île recherchait des agriculteurs et éleveurs sans succès jusque là. Je trouvais les friches envahissantes vraiment désolantes. Il n’y a pas que le tourisme pour faire vivre Ouessant ! Je suis ravie de voir aujourd’hui la reprise d’une vie agricole bénéfique pour tous les habitants et souhaite un franc succès à chacun. Courage à tous !
Bravo, courage à tous et longue vie à vos entreprises !! Ca fait plaisir de voir cette ile renouer avec son agriculture et ses traditions et qu’il y ait des gens qui y croient.
Hâte d’y faire un séjour un de ces 4….
C’est super de revenir à des choses simples, bravo à tous et bon vent !