Sur l’alambic, une plaque résume l’histoire de la distillerie. 75, pour Paris, 13 pour 2013, la date d’obtention du matériel, 01 pour le premier alambic légal à Paris. « Ce sera probablement le dernier, témoigne Nicolas, qui a pu bénéficier de tout un concours de circonstances pour obtenir l’assentiment des douanes. « J’ai essayé de demander l’autorisation pour un deuxième alambic, on m’a conseillé non seulement de lâcher l’affaire mais en plus de me faire discret. » ©Thomas Louapre