Comme à la guerre, comme à la guerre… Pas tout à fait quand même, sinon plus personne ne va lire ces fiches et la Ruche qui dit oui ! va finir par gronder son auteur.
Ingrédients pour 4 à 6 soldats |
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8 rutabagas pas trop gros |
2 carottes |
2 panais |
2 branches de céleri |
2 poireaux propres sur eux |
1 gros bouquet garni |
La sauce (Ouf, ça s’arrange un peu cette recette) |
2 c. à s. de vinaigre de vin |
2 c. à s. d’échalote hachée |
2 c. à s. de moutarde fine |
3 c. à s. de câpres égouttés |
Quelques cornichons (pas vous) |
1 œuf dur |
Pas mal de persil et d’estragon surtout |
1 c. à s. de ciboulette |
Huile d’olive, ad libitum |
Sel et poivre |
1- La popote
Épluchez et lavez les légumes comme ils doivent l’être, c’est-à-dire : bien. Coupez les rutabagas, si besoin. Placez-les dans une marmite avec le bouquet, recouvrez d’eau froide. Portez à ébullition, couvrez presque complètement et laissez cuire plus d’une heure à petits bouillons.
2- La sauce. Ah : enfin !
Dans un bol de belle taille, assemblez l’échalote et le vinaigre. Oubliez 2 ou 3 minutes pour qu’elle perde son agressivité, puis ajoutez la moutarde, les câpres, cornichons et œuf dur hachés fins. Ajoutez à cette bizarrerie 2 ou 3 c. à s. de bouillon de cuisson puis de l’huile d’olive. Combien, goûtez et vous saurez, comptez un petit verre. Finissez avec le persil, l’estragon et la ciboulette hachés, du sel et du poivre.
3- À table
Servez les rutabagas dans des assiettes creuses. Servez le bouillon dans des bols (pensez à y joindre quelques herbes hachées : c’est gratuit ou presque !) Proposez la sauce à part. Servez-la bien froide, sur les rutabagas bien chauds : mor-tel !
Customisation homologuée par la Ruche qui dit Oui !
Utilisez le la moutarde ancienne, violette…
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Photos et stylisme © E. Fénot / D. Brunet – 180°C
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