Dans cet ancien entrepôt textile, d’une quarantaine de mètres carrés à vue de nez, des étagères blanches accueillent des champs miniatures. Des micro-pousses de chou rouge, de brocoli, de basilic, de cresson, de betterave, de radis, de pois, de coriandre, de capucine… mettent seulement cinq à douze jours pour pousser dans des barquettes remplies de coco et de terreau bio.
©Thomas Louapre
Consternant …
Faire pousser des salades hors sol, dans des pièces sans fenêtre ni ventilation naturelle, à grand renfort d’électricité, vous trouvez que c’est du progrès ?
Les bonnes terres agricoles ne manquent pas en Ile de France, il faut plutôt oeuvrer pour les préserver et cultiver nos légumes dans la terre et la lumière du soleil.
D’ailleurs, le hors sol n’a pas droit à l’appellation bio me semble-t-il?
Et que dire de la santé des personnes qui travailleraient dans ces conditions au lieu d’être au grand air comme nos maraîchers bio?
Encore une start up financée par Xavier Niel et consors ?
Une culture totalement artificielle, hors-sol et tout électrique de graines de bêtise élevées en batterie, bidouillées par des start-uppeurs piqués aux hormones du green-washing , pour une clientèle déconnectée du réel, adepte de « croissance verte ».
Un truc mort, quoi.
A vomir.
Bravo.
« truc de filles »…
Navrant que même ici on entend ce genre d’expression.
L’agriculture urbaine c’est un truc de bonhommes ?
je trouve cela génial et magnifique.
dès que je ais à pris je vous rend visite