En ville, lorsque l’on doit vivre à 2 dans 18 mètres carré, on s’organise. Le lit monte au plafond, la table se replie, le frigidaire s’installe sur le rebord de la fenêtre… Ici à la ferme de l’Estive, c’est un peu pareil. Quand on n’a pas beaucoup de place, on rationalise, explique le très jeune Pierre Deybach déjà père de deux enfants. Sa ferme blottie au cœur du village, entre deux maisons d’habitation, est un concentré d’ingénieuses inventions.
Bonjour, est ce possible de livrer ces bons fromages ? Ou existe-t-il un point de vente en région parisienne ? Peut-on en acheter via notre ruche ?
Ce mini reportage est très touchant, avec de belles captures!bonne continuation à cette petite famille qui a l’air très heureuse!cela fait plaisir à voir.
Le petit lait part-il vraiment avec les eaux usées?
Si oui, quel dommage! Et quel gâchis!
Le petit lait est très réputé pour l’alimentation humaine comme pour l’alimentation animale , surtout les porcs et les veaux.
Je n’arrive pas à croire que ces jeunes qui se donnent tant de mal pour réussir leur défi jettent un tel trésor.
Bravo à vous et merci pour votre accueil mais surtout pour vos bons fromages.
dans quel magasin a colmar trouve t on vos munster?
cdlt
jmtrotzier@orange.fr
Bravo félicitations à cette belle famille courageuse et impliquée, j’aimerais goûter leur munster, où le trouver à Lille ? Bonne continuation
Evek
Très beau reportage. Tous mes encouragements à cette jeune famille. Je penserai à eux la prochaine fois que j’acheterai du munster. A ce propos, où peut-on le trouver ? J’habite Mulhouse.
Joli témoignage .
C’est agréable de rencontrer des jeunes passionnés par leur travail.
Ça donne envie d’aller vous rencontrer . !!!
Vous avez l’air super organisé .
Bonne continuation
Françoise
Bonjour,
Combien de fois ces vaches laitières sont-elles inséminées artificiellement dans leur vie ?
Que cet éleveurs fait-il des veaux mâles issus de ces fécondations forcées ?
Combien de jours les mères beuglent-elle à s’en abimer le larynx lorsqu’on leur retire leur petit ? 3, 5, 6 jours ?
Tellement de questions auraient pu compléter cet idyllique tableau…
Pourquoi lire ce magazine et encore plus cet article si tu ne supportes pas cela. L’environnement ne sera pas Meilleur qu’avec des vegans, on tend vers la catastrophe en terme d’ecosysteme si cest cela que tu veux. Au contraire c’est des élevages comme celui ci qu il faut mettre en avant, les bêtes sont respectés et le travaille contribue à améliorer l’equilibre De l’écosystème.
Encore un commentaire à l’emporte pièce !!! les veaux mâles sont vendus à 8 jours et les femelles gardées pour la reproduction. Les fermes démesurées sont montrées du doigt, ici, la ferme donne la part belle aux animaux, ça ne va encore pas, il faut arrêter de critiquer quand on ne connait le monde agricole qu’à travers des articles et photos de L214 et autres végans !!! Ces agriculteurs travaillent durement pour vendre des produits de qualité, alors félicite t’on les plutôt que de chercher la petite bête dans un reportage qui ne me parait pas idyllique.
Photos excellentes et commentaire délicieux. Ce couple d’éleveur est vraiment courageux, en toute simplicité, et mérite de réussir. Merci La Ruche pour ces présentations de citoyens simples avec de vraies valeurs.
Quelle vie, et quel choix de vie.
Magique mais si dur.
Quel courage et quelles récompenses au jour le jour.
Bravo à vous.
Tous mes encouragements et felicitations à ce jeune couple qui se donne sans compter et merci à la Ruche pour ce beau reportage !