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Des trous dans la faune

Quatre lièvres.
Quatre lièvres.

Comme toute personne bien éduquée, j’ai parfois des envies de meurtre. Heureusement je suis originaire de Sologne, le genre de faubourg malfamé où les malfrats pullulent. Il m’a suffi d’un appel pour trouver un professionnel sur place : il s’appelle Philippe. Un matin d’automne, il m’envoie ce message : « Je te confirme notre rendez-vous cynégétique. Je passe te chercher à midi. Amitiés en Saint-Hubert. » Je n’ai rien compris. Mais j’espère que ça va saigner.

La forêt va voir rouge...
La forêt va voir rouge…

Philippe tient parole. À l’heure dite, il me fait monter dans sa voiture dont la radio barrit à plein volume. « Ce sont les trompes de Chambord », me dit-il. « Chaque fanfare a sa signification propre. Elles peuvent donner des indications sur l’état de l’animal, lui faire les honneurs, et cetera. Tout cela est typique de la chasse à courre. Mais aujourd’hui, on part à la chasse au petit gibier. » Tant mieux. Je préfère mener des combats très inégaux en ma faveur. On se met en destination de la queue de Beauce, à côté de Saint-Etienne-des-Guérets, chez des amis qui possèdent des bois et des plaines. Philippe m’explique que les autres actionnaires du territoire de chasse nous y attendent déjà. « Parce qu’il est côté en bourse, ce terrain ? »

– « Non. Dans la chasse, toute la problématique est celle de la gestion du territoire », m’explique-t-il. « Une action en Sologne coûte environ 1500€ à l’année, en échange de quoi tu accèdes à un territoire de chasse. »

– « On va gérer le territoire ? Je croyais qu’on allait mitrailler tout ce qui respire », fais-je d’un air déçu.

– « L’objectif de la chasse, c’est de réguler les populations d’animaux sauvages pour qu’elles restent stables : c’est comme si tu plaçais un capital et que tu ne prélevais que l’intérêt. Dans le Midi par exemple, les choses sont assez compliquées car le parcellaire est très morcelé. Mais ici on a la chance de gérer des grands territoires. Quand tu gères 3000 hectares, cela devient vraiment stratégique. Cette notion de gestion, on la doit à François Sommer dans les années 1960. C’est grâce à lui qu’ont été faits les premiers plans de chasse, qui réglementent ce que l’on a le droit de tuer ou non. »

Quand on arrive, tout le monde est déjà là.
Quand on arrive, tout le monde est déjà là.

Quand on arrive, tout le monde est déjà là. Les chiens ne se tiennent plus : ils jappent, couinent, piaulent, piaillent, pleurent ; bref, ils savent… Dans le tas se trouvent un Springer, un Jack Russel, et des épagneuls français. Il faut savoir qu’à la chasse, il existe deux grandes catégories de chiens : les chiens d’arrêt, qui se pétrifient avec la patte en l’air quand ils sentent une proie et les chiens de rapport, qui débusquent volontiers le gibier, et le ramènent dans leur gueule une fois tué. Le plus connu des chiens de rapport ? C’est le Golden Retriever. C’est d’ailleurs la signification du mot « retriever ». Vous pensiez que c’était l’ami des enfants : point du tout, c’est l’ennemi des canards colvert.

Le paradoxe du chasseur...
Le chien, c’est le « paradoxe du chasseur ». Il est chéri comme un membre de la famille.

On se salue, on se serre la main, on se présente. Je rencontre le Garde-Chasse. Commissionné par l’Etat, son rôle est de faire appliquer les règlements sur le territoire dont il a la responsabilité. C’est un peu le shérif. Il connait les lieux par cœur, et pour cause : il s’en occupe depuis 36 ans.

Rapidement, tout le monde s’amasse autour du Président de Chasse, qui est aussi l’un des propriétaires des lieux. Il donne les consignes du jour : « On ne tire pas sur les poules communes. Et personne n’utilise un plomb au dessous de six, sinon les animaux souffriront inutilement ! » Tout cela me laisse perplexe. Pourquoi tant de règles ? Et quelles pattes elles ont graissées, les poules, pour avoir ce traitement de faveur ?

On se met en chemin vers les sous-bois. Pendant ce temps, Philippe m’explique que les chasseurs ont un devoir moral et légal vis-à-vis des agriculteurs : « C’est l’originalité du modèle appliqué en France. Si jamais les animaux sauvages font des dégâts, ce sont les chasseurs de chaque département qui payent les conséquences, via la fédération départementale des chasseurs. Si tu fais un référendum, il y aura sûrement une majorité de connards qui voteront pour l’interdiction de la chasse, comme dans le canton de Genève. Sauf que depuis, là bas, l’Etat paye des fonctionnaires pour tuer les sangliers, et ces gars n’ont d’autres choix que de faire une véritable boucherie ! » Je comprends que ça l’énerve, Philippe, quand il reçoit des leçons de morale de la part des citadins qui portent des blousons de cuir et s’achètent des knacks au supermarché, cautionnant de fait l’abattage industriel d’environ cent milliards d’animaux par an.

Réunion préparatoire...
Réunion préparatoire…

Tout l’après-midi, les battues vont se succéder. Une battue, en gros, consiste à former deux lignes de tireurs : l’une est fixe, et l’autre avance vers la première en suivant les chiens qui défrichent. Pris en étau, les animaux sauvages auront tendance à s’enfuir dans tous les sens. Dès le début, plusieurs chevreuils bondissent depuis l’intérieur des ronces et passent entre nous ; l’un d’eux me frôle et je rate une photo qui m’aurait valu le prix Pulitzer. On les laisse fuir car aujourd’hui nous ne sommes pas équipés pour le gros gibier, pour qui les armes et les règles de sécurité sont très différentes.

Une ligne, pendant une battue.
Une ligne, pendant une battue.

Tout à coup, les chiens débusquent un lièvre qui vient filer entre mes jambes. Ça pétarade ! Je me dis que je suis mort. « Alors c’est ça l’éternité ? Ça sent la poudre et ça siffle dans les oreilles ? » Et puis non. Un cri me réveille. C’est le cri du lièvre. Déchirant. Philippe revient quelques secondes plus tard avec l’animal dans la main. Penaud, il confesse : « Il a souffert. J’ai raté mon tir. » Puis il masse le bas ventre du cadavre. Je lui demande des explications quant à cette perversion. Il se justifie : « On appelle ça ‘faire pisser’ l’animal. Sinon, il se vide plus tard dans ton carnier ».

Le Garde-Chasse vient d'avoir un faisan.
Le Garde-Chasse vient d’avoir un faisan.

Le carnier, c’est la besace du chasseur. Car le lexique est riche, chez les tontons fusilleurs. Quand le chien sent l’odeur d’un animal à plumes, on parle d’émanations. L’animal à poils, lui, laisse un sentiment derrière lui. Quand on se balade avec son fusil, on dit que l’on billebaude. « Il faut lire le Dictionnaire Amoureux de la Chasse, de Dominique Venner », me dit Philippe.

– « Venner, le dingo qui s’est suicidé par balle sur l’hôtel de Notre-Dame ? »

– « Oui, mais il écrivait magnifiquement sur la chasse. Comme Henri Vincenot, qui avait une grande connaissance de la nature, typique de son époque. »

La peur des ronces et l'amour de la chasse sont incompatibles.
La peur des ronces et l’amour de la chasse sont incompatibles.

Soudain c’est l’extase. Tout le monde crie. L’objet de toute cette hystérie ? Une simple bécasse… On me la décrit comme un animal mythique, presque une licorne à plumes : rare, intelligente, capable de panser ses plaies avec un mélange de salive et de terre, de prodiguer des soins à ses congénères, de mimer l’oiseau blessé pour éloigner les prédateurs de son nid… En plus, cette belle slave migre tous les ans depuis la Russie pour passer l’hiver sous nos latitudes, et souvent sur la même parcelle. Dans la hiérarchie des gibiers, décidément, la bécasse est le plus prestigieux. Mais ce jour là, personne ne la tuera. Elle est posée sur une branche. « Dans l’éthique de la chasse, on ne tire sur un oiseau que s’il est en vol », me dit-on. Les règles sont donc les mêmes qu’à chat-perché.

Un chasseur sachant chasser sans son chien... n'existe pas vraiment.
Un chasseur sachant chasser sans son chien… n’existe pas vraiment.

On se retrouve au calme, en lisière de forêt. On se balade, à la fraîche, on billebaude quoi… Philippe en profite pour me parler de ses expériences passées : « Toutes les chasses sont différentes. Dans la chasse à l’approche par exemple, tu es complètement seul, et tu mobilises toutes tes connaissances du territoire, du vent, de la tenue, pour approcher l’animal. L’émotion est beaucoup plus forte. Je connais même des chasseurs qui n’utilisent plus d’armes à feu, mais des arcs et des flèches ; à ce niveau d’exigence, c’est de l’art. »

L'odeur du gibier met les chiens en transe.
L’odeur du gibier met les chiens en transe.

Finalement la nuit tombe et la trompe sonne la fin des tirs. Le butin du jour se résume à neuf lièvres et cinq faisans. Après le tableau et les honneurs au gibier, tout le monde se réfugie dans la maison pour déboucher le vin. C’est pas trop tôt ! On parle cuisine. Manger l’animal, entre connaisseurs, c’est la finalité du sport. Les recettes pleuvent. Certains confient que dans le civet de sanglier, ils rajoutent de la cannelle et du chocolat pour le liant. J’entends que les vins de Bourgogne accompagnent toutes les viandes, qu’elles soient rosées (comme celle du chevreuil en cocotte), ou bien rouges (comme celle du rôti de cerf) ; d’autres affirment que pour les animaux un peu vieux, un petit Château-Neuf-du-Pape fait des merveilles. Les amoureux de la marinade sèche (où l’on arrose la viande de cognac, d’huile d’olive et d’épices) s’opposent aux inconditionnels de la marinade classique (où la viande est noyée dans le vin pendant plus de 48h avec des oignons, de l’ail et des carottes)… Et le faisan ? « Aux pommes« , s’exclament les uns ! « Aux girolles« , s’écrient les mêmes !

Et toi Philippe, tu as une recette préférée ? « La bécasse rôtie dans la cheminée », murmure-t-il comme un secret. « Avec des braises verticales, pour que la graisse goutte et mouille un toast juste en dessous. A la fin, tu mets du foie gras sur le toast, et tu dégustes le tout avec un armagnac. »

On est sur le point de passer à table… Tant pis pour ceux que ça gêne. Et depuis que vous avez commencé à lire cet article, quelque 500 000 animaux d’élevage ont été broyés dans les abattoirs du monde.

Apero, quand même.
Cette photo se déguste avec un Touraine-Sauvignon bien frais.

86 commentaires

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  1. Un délice à s’en lécher les babines (je parle de votre article bien sûr !). Et puis zut, faisons fi de l’hypocrisie, c’est vrai, après de récentes informations, que les animaux que nous consommons au quotidien sont moins bien traités que ceux que l’on chasse.

    Volaille, vous n’êtes pas, mais vous avez une bien jolie plume !

  2. Juste comme ça : lorsqu’il désigne « la table sacrée servant au sacrifice rituel » (décidément, on n’en sort pas) l’autel ne s’écrit pas « hôtel ». Un détail qui n’élèvera sans doute pas le débat mais un peu d’orthographe n’a jamais fait de mal à personne…

  3. Le débat est passionné et passionnant … Mais la passion n’a rien à y faire !
    Il existe pire donc on doit accepter ? Les chasseurs sont ruraux, proche de la nature, et chasseurs de père en fils, on doit laisser faire ? La tradition (refuge des cons sans imagination) doit se poursuivre ?
    Tout cela n’a rien à voir avec des rivalités urbains / ruraux, la souffrance animale est la même que la souffrance humaine. La mort reste la mort. Et on y passera tous, on espère le plus tard possible. Instinct de survie qu’on a en commun avec les animaux qui eux non plus ne veulent pas mourir trop tôt.
    Pourquoi ne pas leur foutre la paix ? La vie en harmonie avec la nature mon cul … Je suis « rural d’origine » (dans une région de chasse), « urbain d’adoption », je n’ai jamais ressentie l’envie de tuer des animaux pour me sentir plus proche de la nature. Certains voudrait opposer 2 mondes alors qu’il s’agit du même, la chasse n’a plus sa place dans nos sociétés il faut l’entendre, le comprendre.
    L’élevage en batterie n’a pas non plus sa place dans nos sociétés, et le « la chasse vaux mieux » me fait penser qu’on choisit toujours un moindre mal. Essayer de rêver un peu et choisissez « le mieux » plutôt que le moins pire … Peu d’espoir et cette réflexion me renvoi immanquablement à 2017. Bon je m’égare, mais finalement pas tant que ça …
    Choix de société, choix de vie, vivre ensemble, que fait on globalement au niveau politique ?

  4. Que pensent tous ces braves gens de la pêche ? Qui est aussi un sport. Qui est aussi « tuer des êtres vivants »…
    En lisant les réactions à l’article on remarque que la majorité des gens n’y connaissent vraiment pas grand chose :
    – les carabines à lunette par exemple ; limitent très fortement les risques de blesser l’animal. Rien à voir avec un penchant militariste…
    – « nos forêts » : savez-vous que plus des 3/4 des forêts sont privées ? Vous êtes donc probablement chez quelqu’un quand vous partez en ballade….

    Bref, comme à chaque fois que l’on ouvre le débat sur la chasse il y a beaucoup de passion et peu de tolérance…

  5. Elles sont vraiment pénible toutes ces vierges effarouchées qui menacent de se désinscrire à la suite de cet article. Article que j’ai trouvé équilibré et plein d’humour. Merci à l’auteur. Je suis parisien mais venant de la campagne berrichonne. Pour ma part je pense que ce qui est vraiment choquant est l’élevage industriel, commençons par changer ça et ensuite les quelques abus que la chasse peut engendrer.

  6. Tout pareil, merci de me rayer de la liste après un article aussi peu drôle et hypocrite et peu objectif que celui-ci…. parce que les chasseurs ne mangent que la viande qu’ils tuent, et celle de la ruche c’est ça? non mais je rêve… déjà qu’au départ je suis plus biocoop que ruche, je m’étais inscrite en me disant qu’ils fallait leur laisser une chance, qui sait, c’était une initiative qui méritait de voir… bah non merci!!!!

  7. Bonjour,
    A mon humble avis, sur la différence entre bon et mauvais chasseur, tout a été dit dans le sketch des inconnus… pour ce qui est de la Ruche qui dit oui (à partir de l’expérience de celle à laquelle je commande), on trouve des légumes (bio ou raisonnés) et pour les non végétariens, de la viande d’animaux qui ont vécu dans de meilleures conditions que ceux des élevages industriels. Je regrette d’avoir lu cet article sans beaucoup d’intérêt.
    Cat

  8. Moi je me ferais bien quelques chasseurs. Un bon coup dans les roustons, ça évitera qu’ils se reproduisent. Régulons, régulons.

  9. Bonjour à tous.

    Je suis Benjamin, coupable de cet article.
    Le but ici n’est pas de légitimer, ou de faire l’apologie de quoi que ce soit. Ce n’est pas un article d’opinion : nulle part je n’exprime ma position. Je considère d’ailleurs que ma position n’a aucun intérêt.

    Cet article raconte simplement, sur le mode du récit et de l’humour, un après-midi que j’ai vécu.
    Je ne suis pas chasseur moi même, je n’ai jamais tué d’animaux, et je n’ai pas de sympathie particulière pour cette pratique.
    Mais la chasse existe, qu’on le veuille ou non. Il nous semblait intéressant d’en parler sur le blog, en tant que pratique qui transforme nos environnement, mais aussi comme pratique alimentaire-culinaire. J’ai aussi souhaité donner la parole aux chasseurs (parole à la défense, c’est légitime). A chacun de se faire son avis sur leur discours. Le mien est fait. Le votre aussi je crois.

    Bien à vous,
    Benjamin (pour poursuivre la discussion : benjamin@lrqdo.fr).

  10. Mr,

    Vous auriez pu effectivement avec les informations récoltées faire un reportage intéressant sur la régulation des espèces et la gestion du territoire.
    Au lieu de cela, vous nous offrez une vision désagréable de ce que vous auriez pu défendre sous un tout autre angle.
    Vos photos seront difficiles à regarder pour nombre de personnes.
    Votre caricature de la vision de la chasse lorsque vous en parlez à titre personnel sous un humour plus que douteux fait transparaître, même si cela est involontaire, un mépris envers ceux qui n’ont pas la conviction que la chasse est bénéfique à l’environnement.
    Enfin je terminerai par ce point en vous citant:

    « Tant pis pour ceux que ça gêne. Car depuis que vous avez commencé à lire cet article, quelque 500 000 animaux d’élevage ont été broyés dans les abattoirs du monde. »

    ???

    Donc vous justifiez un acte par un autre plus cruel?
    A la ligne précédente vous nous parlez de foie gras qui, à ma connaissance, ne se fait pas dans des conditions d’élevage exemplaire.

    Une déception de lire un sujet si intéressant traité avec si peu d’égards qui en plus de cela dessert complètement les chasseurs.

    Merci la Ruche.

  11. « Je ne suis pas d’accord avec ce que vous écrivez mais je me battrais jusqu’au bout pour que vous puissiez l’écrire ! »
    Bien fait !
    Bravo La Ruche d’avoir publié cet article, cela est provocateur et a réellement bien fonctionné !
    Pour ma part je trouve le reportage un peu simpliste mais facile à lire, donc…

    Cela aura au moins permis de faire sortir de leur tanière tous les extrémistes de tout poil (et plume) !
    Mais si tu sais bien tous ces crétin(e)s qui dégoulinent de (fausse) tolérance de (mauvais) respect.

    Allez, c’est bien fait !

    Et bon vent !

    Pis nan sont vraiment trop bêtes pour se fatiguer à leur expliquer le pourquoi du comment.

  12. J’ai été très choqué de lire cet article dans « la ruche » mais tous les articles qui parlent d’élevage d »animaux ne disent presque jamais ce que deviennent ces malheureux après avoir étés engraissés.Nous savons tous qu’ils finissent pour le mieux dans des estomacs humains,pour le pire dans les poubelles des supermarchés.La chasse est effectivement un grand débat mais qui reste bien souvent stérile,donc je m’abstiendrais de tous commentaires mais sachez que j’ai fais le choix de devenir végétarien comme cela je n’ai aucun scrupule en m’installant devant mon assiette et je suis en très bonne santé,je mange une nourriture variée,qui a du goût et qui ne porte préjudice à aucun animaux .J e vis en symbiose avec la nature,je l’aime et la respecte du mieux que je peux.

  13. Je ne suis pas fan de chasse, mais je trouve ça bien, en démocratie, de parler des sujets qui fâchent…

    Quand à ceux qui, d’un côté ou de l’autre, ont des idées arrêtées sur tout, ils ne sont pas en général très intéressants.

  14. Ce publi-reportage pro-chasse est inacceptable, il n’a rien à faire là. Pour notre part nous quittons la ruche pour d’autres raisons, mais ce genre de grand n’importe quoi ne fait que confirmer notre sentiment.

    Il y aurait fort à dire, mais simplement pour ceux qui sont persuadés que les chasseurs sont indispensables à la régulation de la faune, que cela soit alors fait comme dans le canton de Genève, par des professionnels, et non comme un loisir (!) d’amateurs, source d’accidents graves chaque semaine. (Pour ceux qui doutent, les statistiques de l’office national de la chasse sont à leur disposition)

    Moins de 2% de la population qui s’accaparent nos forêts les armes à la main chaque dimanche la moitié de l’année, sans compter les diverses battues, nous sommes ceux qui disent non. Et nous sommes nombreux.

    1. Le canton de genéve parlons en : suite à une non mobilisation des chasseurs lors d’un scrutin « pour ou contre la chasse » , celle ci fut interdite.La population de sanglier explosa en forêt, et le manque de nourriture se fit sentir.la gente sanglier commença à sortir de la forêt et attaqua cultures,potagers , pelouses… péri urbaines, et par la même occasion engendra moult accident de la route .A l’attaque de son « chez soi » et de sa sécurité, le citoyen lambda, ayant peut être(voir surement) voté contre la chasse, se plaigna en masse et avec véhémence auprès des institutions.Ne pouvant revenir en arrière, ces institutions recrutèrent des « régulateurs » avec pour but l’extermination sans consigne d’abattage mâles, femelles, petits tout devait y passer de jour comme de nuit. Un beau carnage débuta et continue de nos jours , au frais du contribuable plus ou moins écolo…les dégâts occasionnés qui été pris en charge par la fédération des chasseurs sont désormais additionnés à l’avis d’imposition , le prix de l’abattage aussi. C’est top, chaque citoyen du canton de Genéve est un chasseur destructeur par procuration…c’est surement plus acceptable. Je ne m’étendrai pas sur le problème du rat musqué, ragondin en france, ou renard comme à la périphérie de Londres. Alors la chasse n’est pas indispensable mais la régulation oui.Bon débat

  15. Cet article me laisse sans voix, je ne m’attendais pas à trouver ça sur le site de la ruche,une ode à la gloire des chasseurs et l’opposition citadin rural me glace…..je ne suis pas sûre de rester

  16. Joli texte qui ne m’a pas semblé avoir la prétention de traiter de l’ensemble du débat public sur la chasse mais d’ouvrir une fenêtre sur un univers que, pour ma part, je ne connais pas. Donc merci. Et au vue des nombreux commentaires faisant référence au terme de « nature », je suggère que La Ruche, nous propose, à l’occasion d’un prochain reportage, un éclairage sur l’histoire de cette construction sociale qui semble, lorsque qu’elle est convoquée, justifiée une vision manichéenne d’une rare violence.

  17. Comment le fait de tuer des êtres vivants peut-il être appelé « un sport », ça me dépasse complètement…
    Et la nature se régulait très bien sans notre intervention, d’ailleurs elle s’en sort très bien dans certains pays qui ont interdit la chasse…
    C’est honteux cette article et franchement ça ne me donne vraiment plus envie de suivre votre actualité…

    1. On l’a tous compris, la chasse, c’est comme la politique et la religion, ce n’est pas un sujet de discussion, et il y a des extremistes partout.

      Cela dit, si j’ai envie de manger un lièvre sauvage qui a vécu de sa belle vie de lièvre, il n’y a pas d’autre moyen de le tuer proprement que d’aller le chasser. C’est ça le respect de l’animal. C’est vrai, il a des petites maladresses dans l’article, mais dans le fond, c’est plutot bien amené.

      Je suis un viandard, manger de la viande, c’est accepter qu’à un moment donné, on tue un animal, il y a donc forcément du sang.
      Pour les végétaliens, je ne dis rien, respect, c’est un choix.
      Pour les végétariens bisounours qui ne veulent pas qu’on maltraite des animaux, par contre, je leur dirais que le fait de boire du lait ou manger des fromages, c’est accepter qu’à un moment donné, une génisse se fasse monter par un male ou fist-fucker par un humain, sinon c’est direct l’abattoir. Pour la « chanceuse » qui a été engrossée, une fois qu’elle a mis bas, on la sépare immédiatement de son enfant. Si c’est une fille, elle aura le meme destin que sa mere, si c’est un garçon, il finira a l’abattoir soit avant sa puberté, soit après mais on l’aura castré avant.
      Et pour la malheureuse qui est dans une exploitation conventionnelle, elle mange de l’engrais pour produire un maximum de lait et au bout de 3-4 ans, elle a les reins tellement détruits qu’elle doit partir à l’abattoir. Oui, le même engrais qu’on met dans les champs pour faire pousser l’herbe, pourquoi ne pas la donner directement aux vaches ? Ca marche et c’est 10 fois moins cher que les compléments alimentaires.

      Bon c’est quoi le pire au final ? l’élevage ou la chasse ?

  18. Je suis une citadine de plus de 60 ans issue de la campagne où j’ai vecu plus de 20 ans. Des chasseurs, j’en ai côtoyé… il y avait celui qui chassait comme nos ancêtres pour nourrir sa famille et celui qui courrait après le trophée, le chiffre, le record !!! Puis est venu un moment où -à cause de celui-ci et des désherbants et autres pesticides- la population de gibier a fortement diminué, le chasseur-paysan a disparu pour aller gagner sa vie à la ville parce que la vie à la ferme ne permettait plus de subvenir aux besoins de sa famille. (Ne vous faites pas de souci, si l’on ne fait rien, les agriculteurs actuels aussi partiront à la ville s’ils ne se sont pas suicidée avant … Et alors que mettrons-nous dans nos assiettes si ce ne sont des dérivés du pétrole ?). Alors dans nos campagnes est arrivé le chasseur-citadin -celui qu’aujourd’hui nous appelons bobo- et pour que le soir il rentre avec sa gibecière bien garnie, il a fallu lui trouver du gibier. Et qu’à ton fait pour ça ? on s’est tout bêtement mis à élever des faisans, des cailles, des lièvres, etc. … pour les lâcher quelques jours avant l’ouverture de la chasse -histoire qu’ils shabituent aux grands espaces- et le « bobo » rentrait ravi dans sa cité !
    Si la chasse avait été reglementee, on n’en serait pas arrivé a de telles aberrations.
    J’ai lu dans un commentaire qu’il y avait plus de moutons morts d’autres choses que de la traque des loups. Oui ! C’est vrai, mais il faut savoir que lorsqu’un loup s’approche dun trouupeau, les moutons sont épouvantés et ont la fâcheuse habitude de s’agglutiner les uns contre les autres à tel point qu’ils se blessent entre eux et s’ils ne sont pas soignés à temps peuvent mourrir de leurs blessures … pour un mouton tué par un loup, il y en aura peut-être une dizaine qui mourra à cause des blessures, des frayeurs qui les auront précipitées dans un ravin …
    Certains commentaires sont intéressants et pertinents, mais les extrémistes qui veulent boycotter la Ruche ne sont que des primates binaires, car faire le parallèle entre cet article et l’activité de la Ruche relève dun niveau inférieur au QI d’une huitre ! Cet article, rédigé par un candide -même si l’auteur nen est pas un, je n’en sais rien- a le mérite de nous expliquer que ça existe et de nous donner le point de vue de ceux qui s’adonnent à cette activité.

  19. Je pense qu’il existe effectivement des chausseurs respectueux de la faune mais quand je vois autour de moi ce qui se passe, je doute que ce soit une généralité. Le chien traité comme un membre de la famille ? Ici, les chiens sont « casés et entassés » dans des chenils 5 ou 6 mois de l’année, c’est honteux….

  20. Bonjour a tous
    Je suis epate par la vehemence des commentaires.
    Je pense etre un bon exemple de citadin, je lis tranquillement cet article et les commentaires a partir de mon portable connecte en wifi au chaud dans mon canape et… Je trouve cet article tres interessant ainsi que toutes vos reactions.
    Personnelement je ne connais pas le milieu des chasseurs et je n ai donc pas d avis tranche mais ce que je lis me conforte dans l idee qu il y a des bons et mauvais chasseurs. Blague mis a part, ca m a donne envie d en discuter avec des personnes que je connais qui chassent pour avoir leur vision des choses.
    Bonne journee a tous

  21. Nous sommes des milliers convaincus des changements nécessaires,
    Nous sommes des milliers qui regardont impuissants un système productiviste qui ne nous convient pas,
    Nous sommes des milliers a vouloir produire, vivre et consommer différemment,
    Nous sommes des milliers à nous être inscrits, un beau jour, à la Ruche.
    Mais La Ruche c’est quoi , c’est qui ? C’est un groupement de producteurs favorisés et valorisés localement par une demande sociale de plus en plus forte.
    La Ruche c’est aussi un moyen de conçevoir un mode de consommation différent,
    Et enfin La Ruche c’est une opportunité de rencontrer des gens différents, des avis différents.
    Celui qui écrit, celui qui cherche et même celui qui se trompe sur la Chasse en Sologne, devrait avoir le droit de cité. Enfin c’est comme ça que je vois La Ruche. La Sologne j’y suis et j’y vis. Dans une petite maison au coeur des bois du coté de Sennely. Bien sur la chasse a toujours existé, et surtout en sologne, pour autant et bien qu.il s’agisse d’un carnage encouragé par de fiers propriétaires terriens, aujourd’hui dans le desequilibre cynégétique criant de la sologne nous avons besoin de la chasse pour reguler les populations. Qu’on le souhaite ou non, qu’on le veuille ou non sans regulation humaine de la chasse en sologne, les populations de cervidés se developperont a un point tel que les jeunes poussent d’arbres ne grandiront pas/plus et Que la foret n’existera – a terme- plus. Alors voici ma conclusion : Que l’on aime ou non la chasse, celle-ci est installée en tant qu’economie mais aussi en tant que facteur de regulation. La chasse entre dans un système ( au sens systémique) qu’il faut comprendre loin des pensées partisanes. Si nous voulons changer ces methodes archaïques il convient au prealable de changer les bases du système qui sont bien loin de la chasse mais bien plus de notre relation au territoire…s’il vous plait sortons des positions partisanes et apprenons à parler ensemble et à se concerter, c’est je pense là toute l’utilité de cet article et de son lieu d’expression : la Ruche.

  22. Beaucoup de commentaires totalement hypocrites, les gens mangent de la viande abattue dans les abattoirs de façon ignobles mais ils ont bonne conscience! ils défendent la nature, mais que font’ ils concrètement pour elle ? Tous les chasseurs ne sont pas des exemples mais de là à tirer à boulet rouge c’est une réflexion de poisson rouge! Quelle intolérance vis à vis de cet article et des gens qui pensent différemment! « chasser les chasseurs », alors qui ici n’a jamais écrasé une araignée rageusement ou utiliser un insecticide ? Pourquoi demander le boycotte de la ruche c’est complètement débile! l’article n’a aucun rapport avec ce que fait la Ruche! Vous êtes les premiers à aboyer à l’égard des fanatiques mais certains ici sont des fanatiques prêt à tout! j’ai honte pour vous!

  23. Franchement la Ruche cet article est minable…….La conclusion encore plus !!!!, se cacher derrière 500 000 animaux d’élevages broyés (certains vivants comme les poussins) dans les abattoirs du monde pour se justifier de prendre du plaisir à traquer, blesser, tuer des animaux sauvages (qui n’appartiennent pas aux chasseurs) sur des territoires (qui n’appartiennent pas non plus aux chasseurs) et de nous expliquer de c’est du sport !!!!
    Forcément c’est du sport puisqu’il ne s’agit pas de chasser pour se nourrir ……1/4 au moins de la production de la nourriture au niveau mondial étant jetée sans avoir été consommée…….Pour qui se prennent ces chasseurs qui s’arrogent le droit de  » réguler les populations d’animaux sauvages pour qu’elles restent stables » je rigole, jaune certes mais je rigole quand même…….Ces ardents défenseurs de la nature toujours absents lors des rassemblements pour la protection des milieux naturels……mais qui se ruent en masse pour nous protéger (de quoi on sait pas trop !!!) et détruire les petits et grands prédateurs (de préférence les espèces protégées) obligés, les pauvres, de nourrir en hiver les faisans tellement sauvages qu’ils n’y arrivent plus seul. Bon la Ruche sait tu pourquoi on vient remplir nos paniers dans ton giron ? tout simplement parce qu’on refuse de voir arriver dans nos assiettes des animaux (objet insensible ?) mal nourris,transportés et tués de façon cruelle et sadique, on exige des animaux élevés sans antibiotiques, des fruits, des céréales, des légumes issus de l’agriculture biologique….pas d’OGM……on résiste, on tourne le dos au supermarché….on y croit….on s’accroche prêt à payer plus cher….on s’obstine face à l’industrialisation de l’élevage et de l’agriculture…..on fait des kilomètres pour acheter la petite poule qui court dans les champs….on recherche les filières qui nous proposent des produits de qualité tu vois genre….graine de vie……biodiversité……chaine alimentaire……environnement menacé (dommage c’est pas l’article choisi pour être en première ligne…..) et là d’un seul coup flop…….biodiversité ne rime pas avec chasseur….erreur de casting ???? Je voudrais pas me gourer…..va falloir me prouver que la Ruche c’est bien ce pour quoi je me bat……je vais quand même regarder ailleurs pour remplir mon panier, on sait jamais et puis pour la conclusion…..elle est exclusivement réservée à la personne qui nous invite à disparaitre……Si on se tire, pauvre tache, tu va finir par crever de faim aussi……

  24. J’ai détesté cet article!! Pourquoi pas organiser une chasse aux chasseurs finalement? Vous n’avez aucun droit à la vie sur cette Planète, qui est pourtant a protégé et pas à détruire comme vous faites! SHAME!!!!!!!!

  25. Le meilleur côté de cet article est sans doute de nous inciter à échanger sur le sujet de manger de la viande ou pas 🙂 Bonne journée et bonne tolérance à tous

  26. Je suis tout simplement indignée par les propos ignobles et naïfs de cet article. De plus, les photos de cadavres me révulsent, comment peut on banaliser cet univers?

  27. Vu de la ruche, je m’attendais certes à des réactions, mais pas vraiment à celles manifestant autant d’exaspération d’un côté que de… comment dire, grandiloquence d’un autre ?

    Mon point de vue est moins abrupt, la nature est une avec tout un tas de facettes où jamais l’homme ne se distinguera. En ce qui concerne la chasse, je nuance. Si certains sont des viandards, tous ne le sont pas, comme partout.
    Quant au côté « billebaude », qui ne prendrait pas de plaisir à se balader au sein d’un territoirre indemne des traces de la civilisation (du jetable) ? L’automne est d’ailleurs d’une beauté resplendissante pour peu qu’on se promène, et propice à l’apaisement qu’on ne trouve guère en milieu urbanisé, en tout cas pas pour moi.

    D’un autre côté, j’ai du mal à comparer mettons les chasseurs (qui peuvent rentrer bredouille…) à d’autres entités (attention ça fâche) comme total, monsanto ou l’industrie de la clope. Celles-ci sal…ent elles le milieu ambiant à l’échelle environnementale, et que je sache, là où elles s’installent, c’est autant de perdu pour la nature sauvage mais qui elle au moins se ressource ! Printemps, été, automne, hiver sont quand même mieux que l’uniformisation voulue par ces milieux eux nettement plus néfastes que la simple activité naturelle. Et il n’est pas question là d’art tauromachique, mais de destruction du milieu vital.

    Après, à chacun ses opinions, mais invoquer la corrida ou autre là où on veut simplement relater une certaine expérience, je ne vois pas à quoi ça mène d’autre qu’à se retrancher derrière des opinions divergentes au point de se monter les uns contre les autres dans des positions stériles et vaines, loin selon moi de la prodigalité naturelle.

    En gros, la boucherie, non merci. Mais la liberté d’assumer un rôle que la nature dédie à chaque maillon de la chaîne alimentaire, oui volontiers. Je ne suis pourtant pas chasseur, et n’y ai pas particulièrement de prétention. Mais je resterai acquis à la ruche, cet article seul ne saurait m’en détourner.

    Bien à tous, et désolé si cette « profession de foi » chagrine 😉

    Laurent

  28. La chasse moins pire que les camps de concentration pour animaux,
    Les sacs plastique moins pire que ceux en papier,ont peu aussi rajouter Le nucléaire super propre ça c’est reconnu chez Areva ,la cinquième république modèle de démocratie …..et la ruche le paradis sur terre !
    Tchao pour moi .

  29. Manifestement il y a chasseur et chasseur! Comme dans toute activité certains en font la fierté et d’autre la honte et comme toujours ces derniers l’emportent sur l’image générale. Ne mettez pas tout le monde sous une étiquette! De nombreux chasseurs participent activement à la protection de la nature (si si!) et d’autres ne font effectivement que la piller. Heureusement cette derniere catégorie se raréfie et c’est heureux! Les mentalité changent dans beaucoup de domaine et cela n’exclue pas la chasse tout comme nos modes de consommation. Article très intéressant si ce n’est que les commentaires le sont encore plus! bravo!

  30. Je trouve que cet article a le mérite de sortir des sentiers battus et de s’intéresser d’un peu plus près au monde de la chasse. Après, je trouve cet article incomplet et un peu…naïf tout de même.
    Car la chasse, oui c’est ça c’est vrai, et puis c’est aussi tout ce que les autres commentateurs ont cité plus haut. Ca sert à rien d’être naïf, ni d’être extremiste. Je suis maraîchère et je suis en montagne. Les battues en période de chasse c’est quasiment tous les jours. Il y a des fois, j’ose pas sortir en forêt. Des chasseurs m’ont déjà tué des animaux de mon élevage…… et y’en a certains quand je les vois avec un fusil je prend peur, et d’entendre hurler les chiens dans les chenils à longueur de journée me glace le sang. Et pourtant, dans ma famille on chasse . Et pourtant si les chasseurs ne sont pas là pour réguler les sangliers je peux arrêter le maraîchage. Et pourtant je me réjouis de savourer une bonne daube de gibier. Pour conclure, pour moi la chasse fait partie de la ruralité. Mais aujourd’hui, c’est encore trop n’importe quoi, malgré les lois certains chasseurs se croient tout puissant. Parcontre, ce que je remarque aussi, c’est l’acharnement de certains qui vivent loin de la réalité des zones rurales à s’acharner sur ceux qui y vivent : les agriculteurs, les éleveurs, les chasseurs sans aucun recul ni aucune tolérance.

  31. et le prochaine article on devrait le faire sur le ragondin importer pour sa fourrure pour les gens de la ville et voyer aujourd’hui hui ou on en est je pense que ceci est un exemple plus que trés concret

  32. étant chasseur et piégeur tout ces commentaire me font rire la chasse existe depuis que l’homme existe. ceci est naturelle quand a la disparition des espèce on est tous autan responsable les uns que les autre par notre mode de vie. je suis maraîcher et j’ai une formation initial sur la foret en 2017 on doit supprimer les sac en plastique et passer en sac en papier renseigner vous sur le bilan carbone du papier et vous verrer que c’est guerre mieux que le plastique voir pire si l’on considère que de nos jour 80 pour cent du papier est issu du douglas. aller vous balader en foret et regarde notre belle diversité que l’on a sous une plantation de douglas (absolument rien sauf avec un peu de chance des amanite tue mouche) je pense que les route et tous se que l’homme développe font beaucoup plus de mal que les chasseur sur la biodiversité contester la chasse OK mais soyer cline arreter les transport utiliser plus de papier plus d’eau fin polluer plus et apres on pourra parler de la chasse pour ma part je n’y vais même plus car une zone industrielle c’est construire a coter de cher moi pour faire des magasin de fringue et de voiture et je n’ai plus rien sur mes terrains l’utilité des magasin pour moi aucune mais on en construit alors que d’autre locaux tombe en ruine c’est ecoeurant et pourtant nous somme tous responsable et non les chasseur

    1. Hors sujet.
      Finalement vous n’avez pas d’argument à faire valoir pour la chasse car il n’y en a pas de valable, d’argument.

  33. Les anti chasseurs ne sont pas des urbains. j habite en milieu rural et je suis contre la chasse : les chasseurs blessent souvent sans tuer, ils lachent des faisants avant de les massacrer, ils adorent chasser juste à cote des reserves ornithologiques, ils se prennent pour des Hommes et se donnent beaucoup de droits ( franchissement des clotures), ils traitent de nuisible les animaux pour pouvoir les tuer en dehors des periodes de chasse. Leurs chiens restent de long mois en cages ou attaché…etc
    JE BOYCOTTE LA RUCHE QUI DIT OUI !
    Ce n’est absolument pas une entreprise cool mais du business classique avec des taux de charges elevés ;

  34. c’est vraiment n’importe quoi !
    vous faites à présent l’apologie de la chasse,
    demain ce sera la corrida et le foie gras,
    et après les beaux manteaux de fourrure faits avec les chiens écorchés vifs en Chine.
    Vous me dégoutez vraiment.
    Bien que n’achetant pas souvent à la ruche, car un peu trop cher selon moi,
    je me retire de votre business.

  35. Hormis le fait que ce genre d’article me déçoit profondément de la part de La Ruche, que de fautes! ça fait saigner les yeux….

  36. Ben voyons ! C’est bien connu, les chasseurs aiment la nature ! Bizarre qu’ils mettent un tel enthousiasme à vouloir la détruire en tuant tout ce qui bouge !!
    Cet article est ignoble ! je suis végétarienne et fière de l’être !

  37. Je lis « Le chien est chérit comme un membre de la famille »…
    Plusieurs de mes voisins chasseurs ont des chiens parqués dans des chenils pleins de merdes, où ils passent leur vie en attendant le jour de la chasse. Quand ils sont trop vieux, ils y restent enfermés jusqu’à ce que mort s’en suive, sans soins et sans un geste de reconnaissance, parfois même ils finissent leur vie dans le noir d’un garage.
    Autre exemple : une collègue de travail dont le mari est chasseur a plusieurs chiens. Celui de la maison a son panier bien confortable, les chiens de chasse sont confinés dans le hangar avec les machines agricoles et ne sortent jamais.
    Belles familles en vérité !

  38. Issue d’une famille de chasseurs j’accompagnais mon grand-pére qui chassait avec son chien.Nous marchions toute la journée pour parfois une perdrix ou un liévre, mais le plus important etait le casse croute du midi sous son chene. Maintenant il faut des résultats les congélateurs débordent mai il faut tuer pour amortir les bracelets.Donc je suis contre la chasse, laissez revenir les prédateurs ils tuent pour se nourrir et non pour le pognon

    1. bien parler Bernard combien rapporte l’argent de la chasse au gouvernement . Certainement plusieurs millions d’euros .

  39. Perso, suis végé depuis toute petite, mais j’ai beaucoup moins honte des chasseurs (même si, effectivement l’argument de la régulation est ridicule, on lâche dans la nature des animaux qu’on a élevés pour pouvoir les chasser, si, si, je vous assure) que des abattoirs, que personne ne veut voir et qui sont dignes de nos pires cauchemars…
    Rien qu’un exemple au hasard :
    https://www.youtube.com/watch?v=THrNBGBs4p4

    Et pour ceux (rarissimes) qui ont le courage de regarder jusqu’au bout, je conseille par exemple le discours de Gary Yourofsky, que l’on trouve partout sur internet.

  40. Un article pro-chasse affligeant et des commentaires moyenâgeux… j’arrive à peine à croire ce que je viens de lire. La ruche c’est fini pour moi.

  41. Que dire à part mon écœurement ?

    Jamais je n’aurais pensé que La Ruche nous vanterait les mérites de ceux qui sous prétexte de « régulation » ne sont en fait que de vils sanguinaires prenant plaisir à tuer.
    A l’évidence, s’il y a bien une population à « réguler », c’est bien celle de cette minorité qui prend possession de la campagne dés septembre pour y mener ses exactions légales.

    Et sinon, le prochain article, Benjamin, il portera sur l’apologie de la corrida ou sur le bonheur à éliminer les nuisibles tels que les renards, les blaireaux ou bien les pies ?

    Ah, je précise que je vis en milieu rural depuis assez longtemps pour savoir à quoi ressemble un chasseur.

    Je ne vous félicite pas pour cet article odieux.

  42. Bonjour à tous! je trouve que cet article a le mérite d’être courageux sans prendre parti! de là à y voir l’apologie de la Chasse c’est prendre ses désirs pour des réalités!
    J’ajouterai cette petite précision concernant les deux catégories de chiens de chasse, vous avez les chiens courants ou chien de meute et les chiens d’arrêt! ce sont ces mêmes chiens d’arrêt qui rapportent le gibier et ce n’est pas le cas des chiens courants!

    Mais avant de porter un jugement sur la chasse je conseille à tous les commentateurs qui nous ont gratifié de leurs réflexions hautement passionnantes, de visiter un abattoir de porc de moutons ou de volailles surtout si vous mangez de la viande! et peut être porterez vous un autre regard sur la chasse et vous éviterez de sortir des phrases toutes faîtes sur l’écologie et sur la chasse!

    Bien cordialement à tous.

  43. Bonjour,
    Je pense qu’un équilibre correct serait d’autoriser pour chaque battue le tir sur un chasseur ….
    Et enfin de l’embrocher et le faire cuire …

    Ce serait merveilleux….quel régal !

  44. Superbe article idyllique sur la chasse !!!
    Les chasseurs sont respectueux du gibier, des autres humains, ….
    Je ne suis pas un citadin (bien que je ne vois vraiment pas le mal de l’être !) mais un oléiculteur qui vit à Sisteron (04). Ma femme et moi avons interdit la chasse sur nos terres (50ha) depuis 2 ans et en avons fait un refuge LPO … et tous les jours nous nous battons contre ces foutus connards de chasseurs qui continuent à venir chasser sur nos terres. Quand on ramasse les olives entendre des coups de fusils au dessus de nos têtes n’est franchement pas rassurant et en plus on est chez nous !
    Alors un article qui fait l’apologie des chasseurs respectueux des autres, du gibier, des espèces qui doivent être chassées ou protégées VIVE BISOUNOURSLAND !
    Lisez les articles de la LPO, regardez tous les ans le nombre de rapaces tués, de lynx loups, etc, d’espèces protégées migratrices qui sont dessoudées par nos merveilleux chasseurs. Venez faire des randonnées ou ramassez des champignons dans nos bois, forêts, montagnes et vous verrez et ressentirez réellement ce que c’est que la période de la chasse en France.

  45. il n’y aurait pas besoin de cette chasse de régulation si les animaux soi disant nuisibles tels le renard n’étaient plus considérés comme tel et si on laissait enfin vivre les grands prédateurs (lynx entre autre) et revenir ceux qui essaient depuis quelques décennies (loup…). au passage petit playdoyer pour le loup soit disant responsable de tous les maux de la terre. il est « responsable » de 5000 betes tuées par an (moutons, brebis…) contre plus de 500 000 qui partent à l’équarissage pour plein d’autres raisons (maladies…). en France, nous avons 300 loups. En Espagne 2000 et en Italie 5000 et cela ne fait pas temps de rafus la bas (bergers, animaux parqués la nuit etc…) allez zou le bobo écolo retourne dans sa montagne.

  46. Nadia a tout à fait raison et je suis très déçu par la parution de cet article sur le site…
    Je suis photographe professionnel (nature, paysage, photo animalière…) et en période de chasse, je n’ose plus partir en billebaude (pas la même !). J’entends canarder de partout et souvent en très proche. Je croyais que la liberté de chacun s’arrêtait quand elle commençait à empiéter sur celle des autres…!!! La chasse est surtout une activité d’un autre âge, affligeante et honteuse, pratiquée par des passéistes avinés (bon d’accord, pas tous !), qui tirent sur les panneaux de la signalisation et qui bien sûr défendent tous aussi les horreurs et les cruautés de la corrida…

  47. A la ruche, je dis MERCI, merci de nous envoyer des articles tous aussi BEAUX et VRAIS qui rétablissent la VéRITé.
    A vous les urbains comme vous vous nommés selon Nadia, restez dans votre ville, arrêtez de manger car tout ce que vous consommez viens de la terre ou-bien mangez chimique mais par pitié ARRÊTEZ de juger tout ce que font les autres. Ceux qui vivent dans la nature et qui la respectent, ceux qui mettent les pieds dans la boue, ceux qui entretiennent le gibier tout l’hiver (et vous croyez qu’ils se nourrissent comment les perdreaux et les faisans quand ils neige ! Grâce aux chasseurs et aux agriculteurs), ceux qui cultivent la terre pour que vous puissiez avoir votre baguette chaque jour.
    Vous les urbains qui ne faites que critiquer et n’apportez jamais de solutions, désinscrivez vous de la ruche car tous les produits que vous consommez viennent de producteurs respectueux de la nature et de leur travail. Ce sont des ruraux, ceux que vous n’aimez pas, alors foutez leur la PAIX, laissez les travailler tranquille et disparaissez…bon vent..

    1. Pour ma part, chère madame, j ai le plus grand respect pour ceux qui cultivent la terre car je sais à quel point c’est une tâche pénible mais je n’ai que mépris pour ceux qui détruisent la vie animale sans aucune nécessité, uniquement pour le plaisir. Et ne vous en déplaise, je suis et resterai une cliente de la ruche ! De quel droit me l interdiriez vous et comment osez vous m ordonner de « disparaître » ? Bel exemple de tolérance en vérité !

    2. J’ai vécu en Normandie et n’ai jamais vu un veau téter sa mère … Quand je trayais les vaches, on me disait de mettre tel seau de côté (il correspondait au lait de telle vache pour tel veau). On y ajoutait de la farine et hop, on allait voir le veau enfermé à l’autre bout de la ferme pour lui donner sa ration bien nourrissante.
      Je ne vous parle pas des truies couchées sur le côté dans des carcans. Les petits cochons avaient plus de chance que les veaux, eux tétaient leur mère, de quoi se plaint-on ?.
      Quel respect des animaux !
      Et cela ne se passe pas dans les élevages industriels mais chez les petits éleveurs aussi !

    3. D’accord avec Marie et Martin
      Lâcher les aprioris, les préjugés, les toujours les uns contre les autres
      Si on ne veut pas comprendre les différences, on ne comprend jamais rien

  48. Merci pour ce bel article. Mais en lisant certains commentaires affligeants on se rend malheureusement compte que la majorité des gens (citadins j’imagine) n’ont toujours rien compris.
    Un chasseur est avant tout un connaisseur de la nature, contrairement aux âmes bien pensantes qui n’ont que des à prioris…
    Oui il y a parfois des excès, mais pas plus qu’ailleurs.

    1. Et bien moi, je vis à la campagne et je vois tous les ans ces lâchers d’animaux élevés au grains dans des cages.
      Quand au respect de la nature, laissez- moi rire (jaune) : ce sont ces mêmes chasseurs qui abreuvent leurs cultures de produits monsanto…
      Je vais même vous faire une révélation : ils vont chercher en Espagne toute proche les produits interdits en France !
      Alors le lièvre courant dans la belle nature préservée…

  49. Quelle déception de trouver ce genre d’article sur La Ruche! Faites plutôt un article sur Plaidoyer pour l’Altruisme de Mathieu Ricard.

    1. Ou lisez l excellent livre de jonathan safron foer « faut il manger des animaux », ça ne peut pas faire de mal !

  50. Enfin un article intelligent sur la chasse ! En effet, vaut-il mieux manger un lièvre cuisiné à la royale qui a gambadé toute sa vie en plaine et en liberté, ou bien un lapin dans un mauvais pâté élevé en batterie sur du grillage ? Entre les deux mon choix est vite fait ! Accompagnant depuis toute petite mes parents à la chasse, j’y ai toujours vu beaucoup de respect pour les animaux et pour la nature. Nous avons tellement perdu le contact avec la réalité que nous sommes choqués par hommes tuant des animaux pour les manger. Dans ce cas-la, devenons végétariens ! On en peut pas critiquer la chasse et manger de la viande, cela parait absurde.

    1. Je suis vraiment d’accord avec Marie : « On en peut pas critiquer la chasse et manger de la viande, cela parait absurde ».

  51. Cela fait des années que les asso de défense de la nature le disent (Aspas, Lpo, …), la nature n’a pas besoin des humains pour la réguler. Nos amis les chasseurs ont surtout à réguler les c…… qu’ils commettent (lachés de cochongliers, notamment dans le sud, qui pullulent et dévastent maintenant les cultures). La faune sauvage, elle, n’a pas besoin de fusil, merci. Aberrant. Comme toute personne bien éduquée, j’ai parfois des envies … d’agir ! Je vous invite, amis urbains, à visiter les sites des asso nature citées au-dessus, où sont répertoriées différentes actions pour éviter le carnage (d’un autre age) d’une faune qui souffre déjà (raréfaction des habitats, agriculture intensive …) et qui a besoin de protection plus que de fusils.

    1. Vive la chasse ! Vive le meurtre en toute impunité !

      Qu’est-ce que je suis venue faire dans cette galère ?
      Merci de me rayer moi aussi de votre liste d’abonnés.

      Lili DG

    2. En effet la faune sauvage n’aurait pas besoin de fusils pour se réguler… si on n’avait pas dégommé tous les grands prédateurs !

      Il y a certes, parfois, des lâchers de gibier pour certaines espèces (et là j’ai du mal à comprendre le plaisir de tirer sur des bestioles précédemment élevées); Par contre, pour ce qui est des sangliers, lapins, etc. il y a un réel besoin de réguler la population, car nous sommes la seule espèce à les chasser, et ça fait du dégât s’ils pullulent.

      Les loups reviennent tranquillement, ce qui pourrait changer la donne d’ici quelques décennies; d’ici là…

  52. Il y a encore des gens qui arrivent à comparer la chasse à de l’art ??? Quelle aberration … On va bientôt lire que les taureaux adorent la corrida !
    L’excuse de la régulation de la faune fait doucement rigoler quand on croise un faisan en bord de route qui viendrait nous manger dans la main car élevé par l’homme pour servir de population à réguler.
    Un chasseur ne donne pas la mort, il prend la vie.

  53. Pas simple la chasse !
    Que dire des faisans d’élevage lâchés à l’automne que l’on peut attraper à la main tant ils sont habitués à l’homme ! Et qui viennent mendier aux fenêtres des maisons (expériences personnelles !) quand ils ont échappé à la mort par arme à feu (puisque même le renard du coin n’en a pas voulu)… On ne me fera pas croire que c’est pour réguler un certain équilibre dans la nature que l’on remet dans la nature des animaux élevés !
    Et ce butin dont vous parlez, neuf lièvres et cinq faisans : vous dites qu’on ne tire pas sur un oiseau posé mais seulement en vol… vous avez fait comment pour les faire s’envoler les faisans? Moi je sais : vous avez lâché les chiens pour leur faire peur.
    J’admets qu’il y a une partie de vrai dans ce que vous dites, il faut réguler, mais comment ne pas aller dans les excès?

  54. Après avoir tué tous les prédateurs, il faut bien que quelqu’un fasse leur travail. Ou bien faut-il réintroduire les loups dans nos campagnes? Ou exterminer les daims/sangliers/etc. … une bonne fois pour toutes? Je n’ai aucune sympathie pour les gens qui aiment tuer, mais il faut bien réguler la faune d’une façon ou d’une autre.

    1. Quelle hypocrisie! comment croyez vous que cela se passe depuis qu’il n’y a plus les grands prédateurs? Que mangez vous le dimanche avec belle maman? de la viande? et elle pousse dans la barquette ou à l’étale du boucher votre viande? savez vous comment se passe les derniers moments de cette vache de cet agneau, de ce poulet? j’ai fais le choix d’être végétarienne pour ces raisons là, Mais vous qui criez au dégoût au scandale de laisser passer un tel article, êts vous tous végétarien? ne tuez vous aucun puceron sur vos plantes ou grosse araignée dans votre chambre? Alors, oui, idéologiquement, je suis contre la chasse des chasseurs viandars et contre les cons en général, mais la chasse et la maladie sont les derniers moyens de réguler une population. Alors entre voir mourir à petit feu un animal de maladie et prélever les individus les plus faibles ou les moins aptes à échapper au chasseur qu’il soit à 2 ou 4 pattes et bien mon choix est vite fait. Par contre, pour le plastic qui n’est pas fantastique…je suis tout à fait d’accord, les tunnels et cultures sur plastocs sont une contradiction totale avec l’esprit de la ruche.

  55. Après un reportage sur une pauvre, mais jeune et belle bobo qui n’hésite pas à mettre ses cultures sous plastique (chez moi, nous attendons depuis 6 mois la seule entreprise en France qui ramasse ce plastique qui pollue notre campagne…), la ruche fait l’apologie de la chasse …
    Qu’est-ce que je suis venue faire dans cette galère ?
    Merci de me rayer de votre liste d’abonnés.

    1. Après ce reportage écoeurant, merci de me rayer de vos listes. Je suis extrèmement déçue !

      Christine

    2. cet article prônant une « belle journée de chasse » (pas pour les 9 lièvres) pour m’a aussi choquée ! désolée j’ai détesté cet article …! un côté de LA RUCHE que je ne connaissais pas….

    3. Pour protéger la faune ,il y a des gens qui veulent interdire la chasse, loisir d’ une petite partie de la population, ..
      ont-ils pensé à supprimer le ski , un autre loisir , qui a exterminé de façon radicale la faune de nos montagnes, en l’ expulsant par bulldozer?. Mais là, pas touche, les bobos y ont leurs intérêts

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