Les Français éclusent chaque année 7,7 milliards de litres d’eau en bouteille. Ondine, Cristalline et autres fées aquatiques sous plastique sont-elles meilleures pour la santé que leurs cousines du robinet ? Les preuves ne coulent pas toujours de source. Enquête.
« A volonté pendant et entre les repas », voilà ce que conseille le PNNS (Programme national nutrition santé) en terme de consommation d’eau. Mais, eau du robinet ou eau en bouteille, quel breuvage vaut-il mieux siroter ? Pour la planète, l’eau en bouteille perd vite le match, puisqu’elle engendre des dépenses de carburant et bien sûr un énorme volume de déchets plastiques, de l’ordre de 10 à 20 millions de m³ par an, selon les chiffres du ministère de l’Ecologie et du Développement durable.
Et pour la santé ? En France, l’eau qui coule des robinets est potable, ou « propre à la consommation humaine », elle peut être bue toute une vie sans risque pour la santé. Des eaux d’origine souterraine ou de surface (rivières, lacs…) sont pour cela traitées par des usines en fonction de critères précis. Des directives européennes, guidées par les recommandations de l’OMS, sont appliquées en France : une cinquantaine de normes concernent les aspects microbiologiques, chimiques et de confort. « En fonction de la qualité de la ressource, on adapte le traitement », explique Marillys Macé, directrice du Centre d’information sur l’eau (organisation dont les membres sont des professionnels du traitement et de la distribution de l’eau). Dans la plupart des cas, l’eau subit un traitement simple de filtration, voire en plus un traitement physico-chimique. « On termine en rajoutant une très petite dose de chlore pour la sécurité sanitaire, car l’eau va voyager », ajoute Marillys.
Le liquide est hyper surveillé tout au long de la chaîne. « Il y a une autosurveillance en continu des entreprises de l’eau, et aussi des contrôles des Agences régionales de santé. Aucun aliment n’est autant contrôlé en France que l’eau du robinet ! », précise encore Marillys. De rares « accidents » locaux arrivent quand même, de moins en moins fréquents aujourd’hui selon Que Choisir. En cas de dépassement des limites de qualité, le préfet, le maire, les autorités sanitaires et l’exploitant prennent alors des mesures (restriction de consommation, fermeture d’un captage trop pollué…).
L’eau du robinet coûte 100 à 300 fois moins cher que l’eau en bouteille.
Quant aux eaux embouteillées, elles sont variées, comme l’explique l’Anses (Agence nationale de sécurité sanitaire de l’alimentation, de l’environnement et du travail). On distingue les eaux rendues potables par traitement, les eaux de source et les eaux minérales naturelles. Les deux premières catégories doivent respecter les mêmes critères de qualité que l’eau du robinet. Mais il y a des exigences spécifiques pour l’eau minérale, qui doit avoir une composition en éléments minéraux constante, et qui est labellisée par l’Académie de médecine pour ses propriétés. Comme d’habitude, jetez un œil aux étiquettes pour savoir à quoi vous avez affaire ! L’eau en bouteille est en tout cas également surveillée par les producteurs, les distributeurs et les autorités sanitaires.
En réalité, il reste bien souvent des traces de polluants dans les eaux bues, mais qui demeurent en dessous des limites de risque sanitaire. Par exemple, dans une étude menée en 2013, 60 millions de consommateurs expliquait que 8 prélèvements sur 10 d’eau du robinet contenaient au moins un des polluants recherchés, principalement des traces de pesticides et de médicaments… Des éléments également trouvés dans certaines eaux en bouteille ! Le magazine précisait cependant que ces traces « ne remettent pas en cause la potabilité de l’eau. Mais elles révèlent à quel point notre environnement peut être contaminé ». Car si nos eaux demeurent potables grâce aux traitements, il ne faut pas oublier que nos ressources globales sont clairement souillées par les activités industrielles, urbaines et agricoles. Plus l’eau est polluée, plus elle coûte cher à potabiliser… « On a la possibilité technologique de dépolluer les eaux. Mais à quel prix ? Et il vaut évidemment mieux faire du préventif que du curatif, et trouver rapidement des moyens de moins polluer », dit Marillys.
D’après les chiffres de la Chambre syndicale des eaux minérales, en France, la consommation d’eau en bouteille est estimée à 118 litres par habitant en 2014 soit une consommation de 7,7 milliards de litres pour l’ensemble de la population française.
Alors, que choisir ? « En France, on a la chance d’avoir un système d’eau potable au robinet – ce qui n’existe pas dans de nombreux pays du monde – en fonction de critères établis en l’état actuel de nos connaissances scientifiques », souligne Yves Levi, professeur à la faculté de Pharmacie de l’université Paris Sud, spécialiste de l’eau et codirecteur de l’ouvrage Tout savoir sur l’eau du robinet (CNRS Editions). Il précise cependant que « dans les collectivités d’Outre-mer, par exemple en Polynésie française, beaucoup d’eaux du robinet ne sont pas potables. Et les problèmes de santé engendrés ne sont pas évalués…».
Mais en France métropolitaine, « eau du robinet, eau en bouteille, tout est potable. Pour la santé, c’est pareil. Après, c’est une question de goût et d’argent ». En effet, selon les estimations du ministère de l’Ecologie, l’eau du robinet coûte 100 à 300 fois moins cher que l’eau en bouteille. Il existe tout de même une contre-indication à l’eau du robinet : « pour les nourrissons, il vaut mieux utiliser de l’eau minérale faiblement minéralisée, car le filtrage par leurs reins est encore immature », explique Ysabelle Levasseur, diététicienne à Paris.
Mais l’eau minérale n’apporte-t-elle pas plus de bénéfices ? Historiquement, ces eaux étaient en effet bues lors de cures thermales. « Quand des personnes ont des carences en magnésium ou en calcium, il m’arrive de leur conseiller de boire telle ou telle eau minérale, pour contribuer à les aider à retrouver des niveaux normaux », explique Ysabelle Levasseur. L’Anses confirme que certaines eaux minérales peuvent être recommandées pour des besoins particuliers. Si vous êtes en bonne santé, il n’est donc aucunement nécessaire de dénicher des minéraux dans des packs de 6 bouteilles.
En fait, eau du robinet ou embouteillée, l’important c’est surtout de siroter toute la journée. Comme l’explique Ysabelle Levasseur, « il faut avant tout boire de l’eau, environ 1,5 litre par jour, quelle que soit l’eau. C’est la seule boisson indispensable à l’organisme ». A la vôtre !
Pour ma part l’eau du robinet, quand bien même j’habite Évian, n’est pas vraiment bonne, alors je vais à la source m’approvisionner, merci pour cet article très intéressant, merci beaucoup, Vincent de https://qualidem.ch
C’est un sujet délicat car n’oublions pas que l’eau est un être vivant dont nous sommes composes en grande partie, un être vivant qui a une mémoire, ã lire absolument le livre merveilleux de Masuro Emoto aux éditions Tredaniel : les messages cachés de l’eau. Eau du robinet ou eau en bouteille ne sont pas vraiment satisfaisantes, alors peut être quelques intentions permettent- elles à l’eau de nous nourrir davantage…Cat
Bonjour,
Merci pour cet article, qui a le mérite de remettre le sujet de l’eau en avant ! 🙂
Il est clair qu’en ce qui concerne la qualité de l’eau du réseau, il y a beaucoup de non dit qui restent encore cachés du grand public. Seuls les avertis qui ont creusés, savent que si nous parlons d’eau favorable à la santé, que ce soit les bouteilles ou le réseau, la réponse est ailleurs.
Filtrer l’eau de son habitation reste, pour l’instant, à priori la seule option (qui s’accompagne évident d’une consommation de produits naturel, pour éviter de continuer de dégrader la ressource).
Depuis 7 ans que j’agis dans le domaine de l’eau, je transmets des informations sur ces sujets via ma newsletter sur http://www.aquanime.org. Je parle aussi d’outils de filtration et de vitalisation de l’eau, car il y a autre chose que la qualité physico-chimique pour une eau favorable à la santé !
Bien à vous tous
D’accord avec les autres Abeilles, nous n’en savons pas plus …
Habituellement, les thèmes abordés par la Ruche sont explicites et m’ amènent
souvent à modifier mes habitudes pour le mieux-être de chacun et de notre chère planète !
J’habite en zone rurale, moyenne montagne, sans élevage intensif, et nous buvons l’eau du robinet
depuis 20 ans…et je ne changerai pas mes habitudes à moins d’avoir d’autres infos…
de « source sûre » bien sur !
Le plastique ne se décompose pas naturellement, il disparait à vos yeux, mais les molécules ne seront pas brisées et resteront dans la nature, ingérées on le retrouvera dans notre chaine alimentaire.
Bonjour,
Comme la plupart d’entre vous, cet article me laisse dubitative… car je pense qu’en plus de la qualité de l’eau, il faudrait aussi se préoccuper des tuyaux par lesquels elle voyage! chez nous on a beau recevoir la lettre d’information de la bordelaise des eaux qui nous dit que l’eau est d’excellente qualité et pas calcaire (allez dire ça aux linges que j’ai fait tourner sans vinaigre blanc et a la peau atopique des mes fils!) nous avons appris récemment que les tuyaux de notre commune sont très anciens et sont en amiante! alors à choisir entre une eau en bouteille qui va demander des transports et un conditionnement en bouteille plastique (bouteille recyclable je le rappelle) et à 0.11 cts le litre et 1 eau qui ne coute pas bcp moins cher mais dont la qualité est plus que douteuse, surchargée de métaux lourds et dont le procédé de décontamination reste obscur, mon choix est fait!! je reste un peu déçue par cet article qui n’est pas à la hauteur habituelle des articles de ce blog…
OK c’est très bien de pouvoir boire de l’eau du robinet, et d’avoir le choix pour les « riches » qui tiennent à la santé de leur progéniture…
Doit on pour autant accepter tous les discours rassurants sur le potabilité de notre eau du robinet, en zappant entre autres l’aluminium sur lequel l’omerta règne? (essayez de vous renseigner chez votre fournisseur, vous verrez)
Pour ne pas en rajouter (d’accord avec j.Choun et Olo entre autres) dites vous que sur les 1,5l que l’on vous conseille de boire chaque jour, beaucoup est déjà contenu dans nos aliments solides…
L’avantage de ce débat est de rappeler l’importance vitale de l’eau, et qu’il est urgent de faire remonter le sujet sur le devant de la table.
Je suis outré!!!
Avant de faire des articles comme les vôtres, vous feriez mieux de faire des recherches.
scandale de pollution aux métaux lourds dans les Cévennes (par ex) dissimulé par l’état jusqu’en 2011, aucune dépollution prévue.société umicore responsable.
Thallium, Cadmium, Arsenic, Cyanure et autres métaux lourd.
des preuves avérées que la qualité de l’eau dépassée les limites légal monstrueusement !! imbuvable non potable et très dangereuse pour l’homme!!!
Sur le site de contrôle de l’eau du gouvernement les valeurs réelles sont apparues 1H! et paf, juste après, celles-ci étaient devenues correctes (comme par magie). alors la qualité de l’eau!!! et bien elle est potable quand ça les arrange!!!
ce pb concerne les Cévennes : st Félix de palières, Thoiras, Tornac, Anduze et combien d’autres!!!!
sources :pièces à conviction :
http://www.francetvinfo.fr/france/video-pieces-a-conviction-cevennes-le-scandale-sanitaire-francais-le-plus-secret_1268529.html
Alors je vous pose la question. Que peut -on réellement boire. si pour l’eau du robinet c’est comme ça. Cela l’est-il pour l’eau en bouteille.
Le choix serait de savoir déjà le vérité sur ce qu’on ingurgite.
99% de notre alimentation dépasse les normes. En France mais chut faut pas le dire.
ON NOUS PRENDS POUR DES ABRUTIS ET NOUS ON LES CROIS, moi le premier!
bien sûr que c’est super de pouvoir boire l’eau du robinet.Cela n’exclue pas d’être toujours plus exigeants ,car dans les analyses courantes,les métaux lourds sont rarement évoqués et, à mon avis il doit bien avoir des substances nocives qui ne sont pas recherchées ou bien pas divulguées.Etre plus que vigilants ,c’est quand même une obligation pour notre descendance non?
Personnellement, j’ai souvent eu de lourds problèmes digestifs, toujours reliés à un seul et unique facteur que moi et mon médecin avons mis du temps à identifier : l’eau du robinet. Depuis je bois de l’eau minérale et je n’ai plus eu aucun soucis (et je vous jure que je passais des nuits blanches à me tenir le ventre). Alors « bon pour la santé »…. Je veux bien croire que j’ai des intestins fragiles et que ce n’est pas le cas de tout le monde mais je reste très sceptique quant à cette conclusion…
Et si les eaux sont toutes traitées de la même manière et « bonnes pour la santé » de façon égale, me dites vous, pourquoi d’une région à une autre sont elle massivement plus chlorées ou ont-elle tout simplement un goût très différent ?
Je rejoins donc les précédents commentaires pour dire que cet article n’est, en mon sens, pas assez creusé et bien trop superficiel.
Bonjour,
Il y a un reportage très intéressant sur l’eau en Bouteille :
Nestlé et le business de l’eau en bouteille (Diffusé sur Arte il y a quelques années)
http://rutube.ru/video/d56aacb065070e9dfacb6429bc3d5023/
Il est sûr que l’eau en bouteille peu avoir des problèmes, liés à la surexploitation des sources et au stockage à la chaleur ou au plastique d’emballage.
D’un autre côté dans les régions agricoles, je doute que les lieux de pompages traitent les pesticides et autres médicament que l’on retrouve dans l’eau du robinet.
Un petit peu de paracétamol ? Buvez un verre d’eau :p
Bref, ça dépends des régions.
Quant aux filtres Brita et autres, les charbons actifs, lorsqu’il sont vieux risquent de plus polluer l’eau de la carafe que la purifier …
Chacun choisi son camp en fonction de son budget 🙂
Mais l’eau pardonnez moi l’expression est un juteux business !
Bonjour,
Pour ce qui est de la réalité ou non de la qualité des eaux, tout est dans le documentaire de France 2 sur les pesticides. Madame Lucet, bien que je n’approuve pas sa méthode « choc », montre très bien les lobbying et la complaisance béate de nos élus qui laissent couler avec quelques bons petits repas.
Pour ce qui est des filtres, le magazine de la santé à fait également un beau reportage il y a quelques mois et qui stipule que les filtres ne servent à rien.
Mais, je reste assez d’accord avec vos remarques et pour ma part je « compile » 3 eaux minérales.
Avez-vous entendu parler du charbon actif binchotan pour filtrer l’eau ? Une méthode japonaise qui consiste à simplement laisser un morceau de charbon dans sa carafe. Le charbon doit être bouilli au bout de 3 mois pour rempiler pour autant de temps et puis être composté (par exemple). Je ne trouve pas assez d’infos à ce sujet, s’il y a une réelle efficacité sur le filtrage des restes de produits chimiques, si on peut vraiment l’utiliser pour faire des biberons… Si vous avez des infos à ce sujet avec des preuves ce serait top, car solution écolo et économique pour une eau plus à la clé !!
De mon coté, j’ai opté pour une eau de robinet filtrée, nous en buvons au moins 3 L par jour, par personne, ce qui offre de nombreux avantages pour la santé.. Avec un Ph de 7 et un taux de résidu à sec de 150.
Nous sommes composés de 60 % d’eau, c’est une excellente raison d’en boire.
Je connais un légume qui hydrate bien, c’est le concombre ! Mangez des fruits et légumes riches en eau et minéraux, c’est le mieux.
Que la santé soit avec vous.
David
Bonjour.
Moi aussi je m’interroge par rapport aux méfaits liés aux médicaments… trop peu approfondi dans cet article.
Et qu’en est-il des filtres type Brita, utilisés dans nos demeures et dans les fontaines à eaux des entreprises ? Utile ou intox ?
Il y a toujours des traces de toutes sortes de composés chimiques dans l’eau avec de plus en plus de traces de médicaments. Certaines personnes vont jusqu’à boire de l’eau distillée pour avoir une eau la plus pure possible. Nous avons opté pour une fontaine Éva, 99 % de filtration et pas besoin d’électricité. De plus, elle vitalise l’eau (comme si elle sortait d’une source).
Pour plus d’information, vous pouvez m’écrire.
David.
Merci à David Bayle de l’info » Fontaine Eva »; je suis convaincue de la nécessité de choisir un moyen de pouvoir consommer une eau dépoluée et vitalisée; après c’est une question de prix et de choix. je pense aussi que les bouteilles en plastique sont nocives et anti écologiques.
Bonjour,
Je souhaiterais juste répondre au commentaire de Lisbeth : Si nous avions vraiment à choisir entre la peste et le choléra nous ne serions pas en train de nous demander s’il vaut mieux consommer une ressource qui s’épuise ou alors un produit qui pollue mais qui dans tous les cas ne nous transmettra pas de maladie mortelle !
Certaines personnes n’ont pas d’autres choix que de boire une eau contaminée par le choléra… Que diraient-elles en voyant cet article et surtout les commentaires ? Je pense qu’elles se diraient que c’est bien là un débat de riche !
Nous avons de l’eau potable qui coule de notre robinet : quel luxe ! quel confort ! Et si on a besoin en cas de maladie ou pour nos chers bambins, nous avons accès à des eaux en bouteille dont le contenu est vérifié ! Probablement pas suffisamment à vos yeux mais au miens c’est amplement suffisant de pouvoir se dire que n’importe quel être vivant de notre pays peut à tout moment avoir accès à une eau potable, qu’il ait des moyens ou non.
Ce genre d’article me laisse sur ma soif. Quand on entend et lit que les eaux sont contaminées en plus de tous les produits chimiques des agriculteurs et industriels, de tous les médicaments ingurgités par les humains comme les antibiotiques, les hormones, plus toutes les drogues, on a des doutes sur la qualité de l’eau du robinet et quand on voit les bouteilles d’eau minérale dans des bouteilles en plastique être entreprosées en plein soleil, on peut avoir les meme doutes. Alors j’ai l’impression que nous sommes réduits à choisir entre la peste et le choléra.
Pour ceux qui souhaitent directement des informations sur la filtration de l’eau intégrale pour toute une habitation, voyez ici : http://www.eauepure.com
Je suis disponible pour répondre à d’autres questions sur l’eau si vous le souhaitez.
Belle journée 🙂
cuisinière, il arrive que je « réduise » des fonds de sauce:15litres deviennent 0,5 l…Là ju’utilise des bonbonnes d’eau de source. Dans l’eau du « robinet »: contraceptifs oreaux(voir les saumons), chimiothérapies des uns et des autres, voir pire….une de mes filles a oeuvré en medecine légale: les kreuzfel jacob & autres sont « rincés » et reparte
nt dans le circuit
C clair, voila bien le genre d article descriptif, qi ne ns apprend RIEN. C quoi, en fait,le propos de la Ruche ? C de remuer les consciences ? On dirait vraiment que les articles s adrssent à des demeurés… Moi j attend bien plus de ce genre de collectif écolo/bio…… Bises
Exact. En ce qui concerne l’eau du robinet, allez dire aux beaucerons par exemple qu’elle est potable. Oui, mais uniquement sur le papier et à grand renfort de dérogations généreusement accordées et sans cesse renouvelées. Donc, je suis quelque peu ébahie quand je lis votre article…